Simon Koitoua.
Chaque pays a connu à travers ses régimes son lot de traitres, d’opportunistes, de pique- assiettes, de prédateurs sans foi ni loi prêts à renier leurs convictions, à vendre leurs honneurs et à sacrifier leurs âmes pour quelques jours de gloire, pour une notoriété éphémère ou pour quelques miettes laissées par leurs maîtres bienfaiteurs. Pour la Centrafrique, de farouches opposants, de vigoureux syndicalistes, de chantres de la démocratie, de valeureux défenseurs des droits de l’homme, de véritables patriotes, plusieurs des héros du militantisme et du régime d’hier sont devenus hélas des Zéros de la conviction et du respect aux principes d’aujourd’hui au Royaume de Michel Djotodia pays des criminelles patentées. Devenus maîtres dans l’art de la trahison, beaucoup ont renié leurs engagements, ont retourné leurs vestes, ont quitté leurs familles politiques, ont rejoint d’autres formations ou sont devenus dissidents. La vague de l’opportunisme rythment à la vitesse du vent la sphère politique Centrafricaine.
Qui aurait cru qu’Aissatou GINA sanze, servante engagée du parti KNK, ancien collaboratrice de l’ancien Président François Bozize allait devenir la toute Puissante Ministre du gouvernement seleka TIANGAYE II, faible premier ministre de la Centrafrique? Qui aurait cru qu’Elhaj Josué BINOUA, farouche opposant de la seleka lorsque cette dernière conquérait des villes, allait s’allier avec eux ? Qui aurait cru que Claude Richard GOUANDJA, allait s’aligner avec les criminelles de la seleka ? Qui aurait cru que le Gymnaste ZINGHAS, allait rejoindre la seleka ?
Qui aurait cru que l’opposition Centrafricaine, allait se briller par un silence coupable ? Qui aurait cru que le défenseur des droits de l’homme Maitre Nicolas TIANGAYE, allait abandonner le peuple Centrafricain ?
Qui aurait cru que le knk allait renier l’engagement solennel de son président fondateur à s’en tenir à une transition ?
Qui aurait cru que d’anciennes figures de l’ancien régime allaient rejoindre la seleka bandes de criminelles ?
Qui aurait cru qu’Aissatou GINA sanze, servante engagée du parti KNK, ancien collaboratrice de l’ancien Président François Bozize allait devenir la toute Puissante Ministre du gouvernement seleka TIANGAYE II, faible premier ministre de la Centrafrique? Qui aurait cru qu’Elhaj Josué BINOUA, farouche opposant de la seleka lorsque cette dernière conquérait des villes, allait s’allier avec eux ? Qui aurait cru que Claude Richard GOUANDJA, allait s’aligner avec les criminelles de la seleka ? Qui aurait cru que le Gymnaste ZINGHAS, allait rejoindre la seleka ?
Qui aurait cru que l’opposition Centrafricaine, allait se briller par un silence coupable ? Qui aurait cru que le défenseur des droits de l’homme Maitre Nicolas TIANGAYE, allait abandonner le peuple Centrafricain ?
Qui aurait cru que le knk allait renier l’engagement solennel de son président fondateur à s’en tenir à une transition ?
Qui aurait cru que d’anciennes figures de l’ancien régime allaient rejoindre la seleka bandes de criminelles ?
La chose la plus partagée chez nos politiciens Centrafricains aujourd’hui est la trahison, l’ingratitude et le déni des principes et des convictions. L’indécence avec laquelle nos hommes politiques changent de partis et de positions est symptomatique de la bassesse morale qui prévaut et de la méfiance vis-à-vis de ces hommes.
Force est de constater que les valeurs morales désertent la scène politique et le militantisme, l’amour de la patrie, la fidélité aux convictions, le respect des principes et la gratitude envers les citoyens qui devraient guider le politicien dans son parcours ont cédé la place à l’opportunisme.
Les Hommes politiques Centrafricains ,attirés par l’argent sale, affamés de pouvoir et dépourvus de valeurs, de plus en plus d’hommes politiques n’hésitent plus à troquer leur moralité contre des miettes , à se jeter dans les bras des criminelles contre un compte bancaire, à pactiser avec le vampire et à glorifier les putschistes pour accéder au pouvoir et à abuser de tricherie, de mensonge et de volte-face pour jouir de ce festin national.
Sans honte et avec beaucoup d’insolence et d’indécence, de plus en plus d’hommes politiques Centrafricains deviennent maîtres dans l’art de la trahison à la Patrie et au Parti. Une trahison qui se révèle hélas catalyseur de carrière, source de revenu, moyen de chantage, opportunité de vedettariat et meilleure gomme pour effacer ses méfaits et renier ses engagements.
Force est de constater que les valeurs morales désertent la scène politique et le militantisme, l’amour de la patrie, la fidélité aux convictions, le respect des principes et la gratitude envers les citoyens qui devraient guider le politicien dans son parcours ont cédé la place à l’opportunisme.
Les Hommes politiques Centrafricains ,attirés par l’argent sale, affamés de pouvoir et dépourvus de valeurs, de plus en plus d’hommes politiques n’hésitent plus à troquer leur moralité contre des miettes , à se jeter dans les bras des criminelles contre un compte bancaire, à pactiser avec le vampire et à glorifier les putschistes pour accéder au pouvoir et à abuser de tricherie, de mensonge et de volte-face pour jouir de ce festin national.
Sans honte et avec beaucoup d’insolence et d’indécence, de plus en plus d’hommes politiques Centrafricains deviennent maîtres dans l’art de la trahison à la Patrie et au Parti. Une trahison qui se révèle hélas catalyseur de carrière, source de revenu, moyen de chantage, opportunité de vedettariat et meilleure gomme pour effacer ses méfaits et renier ses engagements.
Simon Koitoua