Eve Malonga
BANGUI (LNC) — L'information a circulé toute la journée dans Bangui, et depuis reprise sur les réseaux sociaux.
Les groupes rebelles Anti-Balaka, sous la poussée de leur coordonnateur Sébastien Wénézoui (qui pourtant une semaine plus tôt plaidait pour la paix), après leur ultimatum à la présidente de transition de démissionner sous 48 heures, veulent dorénavant passer à l'action militaire.
Signe majeur, Madame Samba-Panza n'avait pu prononcer un discours en arabe à la mosquée de Bangui lors de la fête musulmane de la Tabaski.
Depuis, les Anti-Balaka déclarent être en train de procéder à la prise de contrôle de la capitale, afin de contraindre la présidente à la démission "Qu'elle soit d'accord ou pas".
Pour Sébastien Wénézoui, "Les prochaines 24 heures vont être déterminantes pour la suite des événements, vous allez voir ce que vous allez voir."
© Octobre 2014 - LA NOUVELLE CENTRAFRIQUE
BANGUI (LNC) — L'information a circulé toute la journée dans Bangui, et depuis reprise sur les réseaux sociaux.
Les groupes rebelles Anti-Balaka, sous la poussée de leur coordonnateur Sébastien Wénézoui (qui pourtant une semaine plus tôt plaidait pour la paix), après leur ultimatum à la présidente de transition de démissionner sous 48 heures, veulent dorénavant passer à l'action militaire.
Signe majeur, Madame Samba-Panza n'avait pu prononcer un discours en arabe à la mosquée de Bangui lors de la fête musulmane de la Tabaski.
Depuis, les Anti-Balaka déclarent être en train de procéder à la prise de contrôle de la capitale, afin de contraindre la présidente à la démission "Qu'elle soit d'accord ou pas".
Pour Sébastien Wénézoui, "Les prochaines 24 heures vont être déterminantes pour la suite des événements, vous allez voir ce que vous allez voir."
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