Les étudiants tchadiens bloqués à Bangui, réunis hier à l'aéroport militaire M'Poko. Crédit photo : Alwihda Info
N'DJAMENA (Tchad) - Une centaine d'étudiants tchadiens vont bénéficier de bourses d'études, octroyés par L’Ecole polytechnique d’ingénierie, de commerce et d’administration (EPICA), dès leur rapatriement au Tchad.
« Ces bourses de formation, d’une durée de trois ans, sont estimées à 96 millions de F CFA », informe Amoula Toua Robert, président-fondateur d'EPICA.
Ce geste intervient quelques jours après l'appel de détresse sur Alwihda Info des étudiants tchadiens vivants en Centrafrique.
Sur place, la situation sanitaire, sécuritaire, financière et sociale des étudiants tchadiens, réfugiés à l'aéroport militaire de Bangui M'Poko devient de plus en plus critique.
"Nous sommes abandonnés à notre triste sort : Souffrance de nourriture, manque d'hygiène, bastonnade, négligences sont les principaux maux qui nous laissent dans le désarroi (ne pas croire à notre rapatriement) », affirment Mackaî, Sahal, loguinang, Ali, Ngakoutou à Alwihda Info.
L'Ambassadeur du Tchad en Centrafrique, Mahamat Chérif Daoussa a promis que les hommes seront rapatriés rapidement, « pour l'instant nous évacuons femmes et enfants ».
« Ces bourses de formation, d’une durée de trois ans, sont estimées à 96 millions de F CFA », informe Amoula Toua Robert, président-fondateur d'EPICA.
Ce geste intervient quelques jours après l'appel de détresse sur Alwihda Info des étudiants tchadiens vivants en Centrafrique.
Sur place, la situation sanitaire, sécuritaire, financière et sociale des étudiants tchadiens, réfugiés à l'aéroport militaire de Bangui M'Poko devient de plus en plus critique.
"Nous sommes abandonnés à notre triste sort : Souffrance de nourriture, manque d'hygiène, bastonnade, négligences sont les principaux maux qui nous laissent dans le désarroi (ne pas croire à notre rapatriement) », affirment Mackaî, Sahal, loguinang, Ali, Ngakoutou à Alwihda Info.
L'Ambassadeur du Tchad en Centrafrique, Mahamat Chérif Daoussa a promis que les hommes seront rapatriés rapidement, « pour l'instant nous évacuons femmes et enfants ».