En Centrafrique, « quatre ressortissants chinois ont été enlevés samedi dernier dans le village de Lamy-Pont, situé à environ quarante cinq kilomètres de la ville d’Abba, chef-lieu de la sous-préfecture de la préfecture de la Nana-Mambéré », a rapporté le journal local Corbeau News.
D’après le même journal, « cet acte tragique s’est déroulé après un affrontement survenu vers 5 heures du matin entre un groupe d’hommes armés non identifiés et des soldats FAKA, à proximité du chantier Zongo, à quelques kilomètres du centre de Lamy-Pont ».
Il a par ailleurs relevé que « depuis leur enlèvement, les quatre ressortissants chinois n’ont donné aucun signe de vie, tout comme leurs ravisseurs » et « les enlèvements sont malheureusement courants dans la région, souvent perpétrés par des groupes armés en quête de rançons. Il est cependant difficile de déterminer avec précision l’identité des ravisseurs, qui opèrent dans l’ombre de ce secteur troublé ».
Pour rappel, trois autres ressortissants chinois avaient été enlevés, le 13 mars dernier, par des hommes armés à 25 kilomètres de Abba dans la préfecture de la Nana-Mambéré. Le rapt avait attribué par les autorités aux rebelles de la Coalition des patriotes pour le changement (CPC), actifs dans la région.
Les trois ressortissants chinois enlevés à la mi-mars alors qu'ils étaient en train d'exploiter un site minier dans l'ouest du pays, avaient été relâchés un mois plus tard par leurs ravisseurs. Mais aucun détail sur les conditions de leur libération n'avait filtré.
D’après le même journal, « cet acte tragique s’est déroulé après un affrontement survenu vers 5 heures du matin entre un groupe d’hommes armés non identifiés et des soldats FAKA, à proximité du chantier Zongo, à quelques kilomètres du centre de Lamy-Pont ».
Il a par ailleurs relevé que « depuis leur enlèvement, les quatre ressortissants chinois n’ont donné aucun signe de vie, tout comme leurs ravisseurs » et « les enlèvements sont malheureusement courants dans la région, souvent perpétrés par des groupes armés en quête de rançons. Il est cependant difficile de déterminer avec précision l’identité des ravisseurs, qui opèrent dans l’ombre de ce secteur troublé ».
Pour rappel, trois autres ressortissants chinois avaient été enlevés, le 13 mars dernier, par des hommes armés à 25 kilomètres de Abba dans la préfecture de la Nana-Mambéré. Le rapt avait attribué par les autorités aux rebelles de la Coalition des patriotes pour le changement (CPC), actifs dans la région.
Les trois ressortissants chinois enlevés à la mi-mars alors qu'ils étaient en train d'exploiter un site minier dans l'ouest du pays, avaient été relâchés un mois plus tard par leurs ravisseurs. Mais aucun détail sur les conditions de leur libération n'avait filtré.