Par Simon Koitoua (Auteur libre)
Simon Koitoua.
Madame la Présidente C’est devenu le quotidien de certains Centrafricains, et pas des moindres, tombés dans ce jeu pervers pour lequel ils consacrent plus d’efforts et de fortune que pour DETRUIRE au lieu de construire la Centrafrique. Le jeudi 10/04/14 selon le site du journal d’information jeune Afrique, l’interview du criminel SABONE est une déclaration de guerre CONTRE le peuple Centrafricain qui aspire que la paix. Nous avons eu des inquiétudes que la température sociopolitique, déjà si élevée, ne soit montée d’un cran. Cela nous gêne le fait que vous gardiez le silence face à cette provocation du criminel SABONE.
Notre but, c’est de prendre à témoin la communauté nationale et internationale, où qu’elle se trouve, sur un fait : de dénoncer avec force les manœuvres satanique du sanguinaire SABONE envers notre pays la RCA et aux forces de la MISCA et SANGARIS de prendre des dispositions adéquates afin de contrecarrer ce plan génocidaire du peuple Centrafricain. L’ignorance de la réalité et qu’au contraire, on vous a bercé d’illusions. Nous ne faisons pas de procès d’intention. Notre démarche vise simplement à vous éviter de tomber dans un cul de sac. Le mieux pour la Centrafrique, c’est d’arrêter les traitres tels que : Djotodia, Nouradim ADAM, Gazambetty Neris Massi, NARKOYO et Moussa ASSIMEH l’engin de mort et afin d’envisager dans la sérénité le retour des déplacés, amorcer le dialogue inter-centrafricain puis les échéances électorales à venir. Pourquoi le gouvernement ne se soucie-t-il pas de soumettre aujourd’hui au parlement de la seleka : le retour des Forces Armées Centrafricaines son exigeant auprès de la Communauté Internationale ? Des fins utiles pour la démocratie et l’état de droit en Centrafrique ?
Le mutisme complice de Alexandre NGUENDET et certains Hommes Politiques qui ont entrainé des deuils et des pertes en vie humaines dans des milliers de famille ce que le peuple centrafricain ne peut pas oublier.
Ne continuez pas à vous laisser tirer vers le bas par les comploteurs, les traites et les vrais responsables de cette tragédie Centrafricaine nous le disons la seleka. Réagissez, madame la Présidente, pour arrêter cette dégringolade. Vous en avez encore la capacité et les moyens. Nous vous prions de ne pas vous laisser embarquer dans une voie facile mais sans issue. Voilà, nous pensons avoir rempli notre devoir de citoyen patriote soucieux de la stabilité politique et institutionnelle de notre pays en attirant votre attention. Cette stabilité politique et institutionnelle de la Centrafrique doit être préservée à tout prix.
La vérité triomphera du mensonge, le peuple Centrafricain saura les causes cachées de cette débâcle.
Simon koitoua