Arrivée fortuitement au pouvoir de l’Etat à la suite des errements du régime putschiste de Michel Djotodia,l’actuel présidente de la transition Catherine SAMBA PANZA chez qui l’on voyait l’incarnation d’un symbole d’une mère rassembleuse synonyme d’un vecteur du retour à une paix durable, n’est qu’un leurre. Pire encore, la lueur d’espoir qui pointait à l’horizon au lendemain de sa « petite élection » suite au « saupoudrage constitutionnel »concocté par la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC), a fait place à un pessimisme béat.
Aujourd’hui, il y’a le spectre d’une grève général qui pèse sur le secteur public suite à un préavis déposé d’abord par le central syndical des enseignants de Centrafrique qui réclame l’apurement de quelques mois d’arriérés de salaires suite aux nombreuses promesses fallacieuses faites par dame SAMBA PANZA et son premier ministre Mahamat KAMOUN. Alors que d’une part, la paupérisation prend une proportion endémique dans le panier ménagère des fonctionnaires et que d’autre part, la camarilla SAMBA PANZA aient reçu d’importants appuis budgétaires et autres dons mais fait fi d’honorer à ses obligations, se contentant de faire gonfler des factures au niveau de la présidence, de multiplier des missions et autres.
Au lieu de s’atteler à apporter de solutions à toute cette panoplie de problème, SAMBA PANZA à contrario, multiplie les artifices et autres manœuvres destinés à faire écran au retour du président François BOZIZE alors attendu par plus de 3/4 de la population centrafricaine comme la parousie du christ. SAMBA PANZA qui a du mal à se donner la tête, passe de nuits cauchemardesques au point d’être hanté de distribuer de billets de banques à certaines corporations bien connues du public à savoir l’OFCA (l’Organisation des Femmes Centrafricaine),l’enrôlement tout azimut de bandits, de récidivistes à qui elle distribue des armes pour semer la pagaille le cas échéant bref !
C’est ainsi que la parodie de marche initialement prévue de longue date aurait finalement lieu ce samedi 17 janvier 2015 avec en point d’orgue, une opposition au retour du président François BOZIZE. Il est prévu à la fin de cette marche, la remise d’un mémorandum à SAMBA PANZA qui s’envolera illico pour rendre compte au président Denis SASSOU NGUESSO, médiateur dans la crise centrafricaine. L’on se demande alors pourquoi le retour au bercail de François BOZIZE sur la terre de ses ancêtres fait il autant peur à la petite classe des politicards qui tremblent dans leur petite culotte ? Une chose est sûr : l’homme jouit d’une large audience auprès de sa population et que son retour est synonyme de la signature d’acte de décès politique des uns aux autres.
Subrepticement, madame SAMBA PANZA veut faire feu de tous bois de faire perdurer la crise ; histoire de proroger indéfiniment la transition puis de s’accrocher au pouvoir. In fine, de continuer ses bévues politiques.
Qu’adviendra-t-il alors lorsqu’on veut à tout prix écarter un acteur aussi majeur de la trempe de BOZIZE dans le processus de la réconciliation nationale ? A qui incombera la responsabilité d’un tel dérapage ?
Nous en appelons solennellement la communauté internationale et plus particulièrement la France, les Etats Unis d’Amérique, l’Union Européenne, l’Union Africaine, la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale et autres organisations impliquées dans la crise de prendre leurs responsabilités devant l’histoire en vue d’arrêter « le syndrome Samba Panza » qui périclite dangereusement sur le corps social au risque d’ouvrir la boite de pandore sur un second cauchemar post seleka.
Qui vivra verra !
LOUIS NINGATOLOUM.
Aujourd’hui, il y’a le spectre d’une grève général qui pèse sur le secteur public suite à un préavis déposé d’abord par le central syndical des enseignants de Centrafrique qui réclame l’apurement de quelques mois d’arriérés de salaires suite aux nombreuses promesses fallacieuses faites par dame SAMBA PANZA et son premier ministre Mahamat KAMOUN. Alors que d’une part, la paupérisation prend une proportion endémique dans le panier ménagère des fonctionnaires et que d’autre part, la camarilla SAMBA PANZA aient reçu d’importants appuis budgétaires et autres dons mais fait fi d’honorer à ses obligations, se contentant de faire gonfler des factures au niveau de la présidence, de multiplier des missions et autres.
Au lieu de s’atteler à apporter de solutions à toute cette panoplie de problème, SAMBA PANZA à contrario, multiplie les artifices et autres manœuvres destinés à faire écran au retour du président François BOZIZE alors attendu par plus de 3/4 de la population centrafricaine comme la parousie du christ. SAMBA PANZA qui a du mal à se donner la tête, passe de nuits cauchemardesques au point d’être hanté de distribuer de billets de banques à certaines corporations bien connues du public à savoir l’OFCA (l’Organisation des Femmes Centrafricaine),l’enrôlement tout azimut de bandits, de récidivistes à qui elle distribue des armes pour semer la pagaille le cas échéant bref !
C’est ainsi que la parodie de marche initialement prévue de longue date aurait finalement lieu ce samedi 17 janvier 2015 avec en point d’orgue, une opposition au retour du président François BOZIZE. Il est prévu à la fin de cette marche, la remise d’un mémorandum à SAMBA PANZA qui s’envolera illico pour rendre compte au président Denis SASSOU NGUESSO, médiateur dans la crise centrafricaine. L’on se demande alors pourquoi le retour au bercail de François BOZIZE sur la terre de ses ancêtres fait il autant peur à la petite classe des politicards qui tremblent dans leur petite culotte ? Une chose est sûr : l’homme jouit d’une large audience auprès de sa population et que son retour est synonyme de la signature d’acte de décès politique des uns aux autres.
Subrepticement, madame SAMBA PANZA veut faire feu de tous bois de faire perdurer la crise ; histoire de proroger indéfiniment la transition puis de s’accrocher au pouvoir. In fine, de continuer ses bévues politiques.
Qu’adviendra-t-il alors lorsqu’on veut à tout prix écarter un acteur aussi majeur de la trempe de BOZIZE dans le processus de la réconciliation nationale ? A qui incombera la responsabilité d’un tel dérapage ?
Nous en appelons solennellement la communauté internationale et plus particulièrement la France, les Etats Unis d’Amérique, l’Union Européenne, l’Union Africaine, la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale et autres organisations impliquées dans la crise de prendre leurs responsabilités devant l’histoire en vue d’arrêter « le syndrome Samba Panza » qui périclite dangereusement sur le corps social au risque d’ouvrir la boite de pandore sur un second cauchemar post seleka.
Qui vivra verra !
LOUIS NINGATOLOUM.