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Cinéma : Djibouti dans "Le dernier diamant"
Rares sont les films américains ou français qui citent notre pays dans leur
courts-métrages. Dernièrement, le film américain "Red", avec Bruce Willis,
affichait le drapeau de Djibouti qui était arboré sur une voiture classique.
Aujourd’hui, c’est-à-dire l’année en cours, 2014, un nouveau film au nom
de "Le dernier diamant" cite le nom de Djibouti. Un homme au second rôle, dans
le film, s’illustre comme étant un ex-ambassadeur de Djibouti. Et, à
plusieurs reprises par la suite, au long du court-métrage du film, le nom de
notre cher pays sera mentionné. Ce pays est-il devenu aussi prestigieux pour
être cité sur le grand écran ? A-t-il attiré l’intention des uns dont ce
pays dispose d’une position géostratégique, à part entière dans le monde ?
Reste à savoir. Mais une chose reste véridique et indéniable : quand Ahmed
Salah avait remporté les marathons de Rome (en 1987), ou Rottherman (en 1988),
ou encore celui de Séoul (en 1988); Djibouti n’était pas aussi connue
qu’elle l’est aujourd’hui. Il est vrai que Djibouti ne dispose pas de
richesse naturelle mais notre pays se fraye son propre chemin, petit à petit.
Outre celui de l’Arabie saoudite, de Cuba, de l’Égypte, de la France, de
l’Inde, du Japon, de la Suisse, de l’Ethiope, et de la Somalie, cinq
ambassades dont celui de l’ Afrique du Sud, de l’Allemagne, du Koweït, du
Maroc et de la Russie ont été ouvert en début de l’année 2011. La
diplomatie djiboutienne a, au cours de ces quinze dernières années, été
propulsée au-devant de la scène politique, pour une représentativité
attrayante et, surtout pour attirer plus d’investissement étranger. Cette
séduction diplomatique commence, cependant, à payer les efforts consentis en
termes de Communication par le gouvernement et celui qui l’a dirigé, le
Président Guelleh. Ce dernier même, qui entend bien miser sur les atouts de ce
petit Etat (position géographique, port en eau profonde, bases militaires…)
pour qu’il devienne un hub économique de l’Afrique. Et, en tant que
Djiboutien, nous pouvons que se réjouir. MAAS
courts-métrages. Dernièrement, le film américain "Red", avec Bruce Willis,
affichait le drapeau de Djibouti qui était arboré sur une voiture classique.
Aujourd’hui, c’est-à-dire l’année en cours, 2014, un nouveau film au nom
de "Le dernier diamant" cite le nom de Djibouti. Un homme au second rôle, dans
le film, s’illustre comme étant un ex-ambassadeur de Djibouti. Et, à
plusieurs reprises par la suite, au long du court-métrage du film, le nom de
notre cher pays sera mentionné. Ce pays est-il devenu aussi prestigieux pour
être cité sur le grand écran ? A-t-il attiré l’intention des uns dont ce
pays dispose d’une position géostratégique, à part entière dans le monde ?
Reste à savoir. Mais une chose reste véridique et indéniable : quand Ahmed
Salah avait remporté les marathons de Rome (en 1987), ou Rottherman (en 1988),
ou encore celui de Séoul (en 1988); Djibouti n’était pas aussi connue
qu’elle l’est aujourd’hui. Il est vrai que Djibouti ne dispose pas de
richesse naturelle mais notre pays se fraye son propre chemin, petit à petit.
Outre celui de l’Arabie saoudite, de Cuba, de l’Égypte, de la France, de
l’Inde, du Japon, de la Suisse, de l’Ethiope, et de la Somalie, cinq
ambassades dont celui de l’ Afrique du Sud, de l’Allemagne, du Koweït, du
Maroc et de la Russie ont été ouvert en début de l’année 2011. La
diplomatie djiboutienne a, au cours de ces quinze dernières années, été
propulsée au-devant de la scène politique, pour une représentativité
attrayante et, surtout pour attirer plus d’investissement étranger. Cette
séduction diplomatique commence, cependant, à payer les efforts consentis en
termes de Communication par le gouvernement et celui qui l’a dirigé, le
Président Guelleh. Ce dernier même, qui entend bien miser sur les atouts de ce
petit Etat (position géographique, port en eau profonde, bases militaires…)
pour qu’il devienne un hub économique de l’Afrique. Et, en tant que
Djiboutien, nous pouvons que se réjouir. MAAS
