Pour rappel, le 08 novembre 2010 les autorités marocaines décidèrent de démanteler le campement de protestation de Gdeim Izik, proche de Laayoune après avoir constaté que son objectif, à savoir des requêtes sociaux économiques, avait été détourné,par des terroristes du polisario infiltrés dans les provinces sahariennes marocaines.
A la suite de cette opération légale et de défense de l'ordre public des autorités marocaines, cette cellule terroriste polisarienne infiltrée au Maroc, et assistée de leurs partisans, largement rétribués par les responsables algéro-polisariens, ont investi la ville de Laayoune pour la mettre à feu et sang.
A l'issue de ces émeutes commanditées depuis Tindouf, un lourd bilan a été dénombré : 11 morts et 159 blessés parmi les forces de sécurité, non armées. 163 personnes interpellées.
Parmi les terroristes interpellés figuraient Ennaâma Asfari et 13 de ses acolytes qui seront condamnés à de lourdes peines pour le meurtre, de sang froid, de 11 membres des forces de sécurité. Rappelons ces images inhumaines d'un de ces criminels urinant sur le cadavre d'élément des forces de sécurité, après les avoir égorgés.
Telle est la genèse de cette nouvelle affaire qui rebondit suite à une mobilisation des soutiens connus des terro-polisariens qui tentent maladroitement de faire valider l'information selon laquelle Asfari et ses compères observent une grève de la faim.
Une pseudo grève de la faim, tout comme l'est le pseudo RASD, qui n'est en fait qu'une opération de désinformation algéro-polisarienne, relayée par des associations françaises à leur solde, comme l'ACAT, destinée à influencer la décision de justice française qui doit se prononcer le 04 avril 2016 sur une étrange plainte pour des allégations de tortures à l'encontre des autorités marocaines.
Toutes ces allégations mensongères ont été expliquée par un communiqué de la Délégation Générale de l'Administration Pénitentiaire et de la Réinsertion qui affirme que ces individus ont été régulièrement surpris en train de se nourrir et que leur état de santé est des plus normal.
En conclusion, ces terroristes tentent, via cette pseudo grève, à induire en erreur l'opinion publique en se faisant passer pour des victimes et à influencer la justice française.
Malheureusement pour ces terroristes polisariens, l'Europe, notamment la France et la Belgique, a été durement touchée et les lois antiterroristes ont été drastiquement renforcées. Tout particulièrement celles qui portent atteinte à un officier de sécurité ou à un agent de l'Etat.
Donner raison à ces assassins serait contraire à la loi en vigueur et ouvrirait grandes les portes au terrorisme.
A la suite de cette opération légale et de défense de l'ordre public des autorités marocaines, cette cellule terroriste polisarienne infiltrée au Maroc, et assistée de leurs partisans, largement rétribués par les responsables algéro-polisariens, ont investi la ville de Laayoune pour la mettre à feu et sang.
A l'issue de ces émeutes commanditées depuis Tindouf, un lourd bilan a été dénombré : 11 morts et 159 blessés parmi les forces de sécurité, non armées. 163 personnes interpellées.
Parmi les terroristes interpellés figuraient Ennaâma Asfari et 13 de ses acolytes qui seront condamnés à de lourdes peines pour le meurtre, de sang froid, de 11 membres des forces de sécurité. Rappelons ces images inhumaines d'un de ces criminels urinant sur le cadavre d'élément des forces de sécurité, après les avoir égorgés.
Telle est la genèse de cette nouvelle affaire qui rebondit suite à une mobilisation des soutiens connus des terro-polisariens qui tentent maladroitement de faire valider l'information selon laquelle Asfari et ses compères observent une grève de la faim.
Une pseudo grève de la faim, tout comme l'est le pseudo RASD, qui n'est en fait qu'une opération de désinformation algéro-polisarienne, relayée par des associations françaises à leur solde, comme l'ACAT, destinée à influencer la décision de justice française qui doit se prononcer le 04 avril 2016 sur une étrange plainte pour des allégations de tortures à l'encontre des autorités marocaines.
Toutes ces allégations mensongères ont été expliquée par un communiqué de la Délégation Générale de l'Administration Pénitentiaire et de la Réinsertion qui affirme que ces individus ont été régulièrement surpris en train de se nourrir et que leur état de santé est des plus normal.
En conclusion, ces terroristes tentent, via cette pseudo grève, à induire en erreur l'opinion publique en se faisant passer pour des victimes et à influencer la justice française.
Malheureusement pour ces terroristes polisariens, l'Europe, notamment la France et la Belgique, a été durement touchée et les lois antiterroristes ont été drastiquement renforcées. Tout particulièrement celles qui portent atteinte à un officier de sécurité ou à un agent de l'Etat.
Donner raison à ces assassins serait contraire à la loi en vigueur et ouvrirait grandes les portes au terrorisme.