Le Syndicat national des transports en commun urbain, interurbain et provincial du Tchad (SYNAT) a réagi samedi à la mesure de confinement de la capitale. "L'arrêt des taxis et minibus a des conséquences sur les citoyens les plus démunis qui n'auront pas les moyens de se déplacer", estime Mahamat Ahmat Hassan Harre, chargé de communication du SYNAT et président des taxis de Dembé.
Selon le syndicat, "certains citoyens sont très loin dans les quartiers périphériques et viennent travailler dans le centre-ville". Il cite notamment ceux des quartiers : Kalatchou, Goudji barrière, Gozoktor, Boutalbagar, Chadar talata, Ambatta, Gassi, Farcha, Amsinene, etc.
Selon le syndicat, "certains citoyens sont très loin dans les quartiers périphériques et viennent travailler dans le centre-ville". Il cite notamment ceux des quartiers : Kalatchou, Goudji barrière, Gozoktor, Boutalbagar, Chadar talata, Ambatta, Gassi, Farcha, Amsinene, etc.
Ces habitants des quartiers éloignés du centre-ville vont dépenser plus de 2500 Fcfa, et malheureusement, certains ne gagnent même pas 2000 Fcfa par jour, souligne le syndicat.
Le SYNAT demande à l'État de "penser aux personnes démunies en laissant les taximans travailler". Les taximans s'engagent à respecter les mesures barrières édictées par l'État.
Selon le décret n° 2685 du 31 décembre 2020 portant confinement de la ville de N'Djamena et renforcement des mesures sanitaires, les transports urbains et interurbains sont également interdits.
Le SYNAT demande à l'État de "penser aux personnes démunies en laissant les taximans travailler". Les taximans s'engagent à respecter les mesures barrières édictées par l'État.
Selon le décret n° 2685 du 31 décembre 2020 portant confinement de la ville de N'Djamena et renforcement des mesures sanitaires, les transports urbains et interurbains sont également interdits.