« Les trois pays voisins ont lancé en fin de semaine écoulée à Lomé, la seconde phase du Programme d’appui à la prévention des conflits et de l’extrémisme violent dans les zones frontalières. Le projet, soutenu par les Nations Unies, veut désormais s’attaquer aux facteurs de la fragilité dans les zones frontalières », a annoncé Lomé ce lundi.
Ceci, explique le Bureau Togo de l’Organisation internationales pour les migrations (OIM), en se concentrant principalement sur deux piliers : le renforcement des mécanismes endogènes de prévention et de réponses aux conflits communautaires aux niveaux local et transfrontalier, et le renforcement de la résilience socio-économique des femmes et des jeunes.
« Du reste, il s’agit de capitaliser sur les acquis obtenus depuis 2020, comme les mécanismes locaux de dialogue, de prévention et de résolution des conflits, ou encore l’appui à la vulnérabilité des jeunes et femmes », conclut Lomé.
Ceci, explique le Bureau Togo de l’Organisation internationales pour les migrations (OIM), en se concentrant principalement sur deux piliers : le renforcement des mécanismes endogènes de prévention et de réponses aux conflits communautaires aux niveaux local et transfrontalier, et le renforcement de la résilience socio-économique des femmes et des jeunes.
« Du reste, il s’agit de capitaliser sur les acquis obtenus depuis 2020, comme les mécanismes locaux de dialogue, de prévention et de résolution des conflits, ou encore l’appui à la vulnérabilité des jeunes et femmes », conclut Lomé.