Au deuxième jour de sa visite d’Etat à Luanda en Angola, la délégation congolaise a fait œuvre utile. Au total, sept nouveaux accords de coopération signés, au palais présidentiel, en présence des présidents congolais, Denis Sassou N’Guesso, et angolais, Edouardo Dos Santos, au terme de la grande commission mixte de coopération. . A l’ouverture de la session, les chefs d’Etat des deux pays ont proclamé leur engagement de donner un nouveau souffle à une coopération historique, vieille de plusieurs années et de solidifier les relations entre leurs deux pays.
Les accords signés entre les deux pays portent essentiellement sur La coopération technique et militaire, la suppression des visas pour les détenteurs des passeports de service et diplomatiques, le commerce transfrontalier, le transport aérien, la marine marchande et le transport routier, ainsi que le sport.
Après la session de la commission mixte de coopération, le président congolais s'est adressé à l'assemblée nationale angolaise où, devant les députés, il a rappelé l'encrage historique des relations entre le Congo et l'Angola. Lesquelles remontent au 19è siècle avec, et selon lui, ne se résument pas l'arrivée sur le sol congolais en août 1960 de courageux fils de l'Angola engagés dans un rude combat contre l'occupation étrangère (allusion à l'installation du MPLA à Brazzaville).
Ce dernier a trouvé, notamment, en 1464 un repère du passé que les deux pays "ont en partage comme legs de la mémoire collective de certains de leurs peuples". Il s'agit du royaume du Kongo découvert cette année là (1464) par Diego Câo.
A noter qu’ qu'avant de co- patronner l'ouverture de la session de la commission mixte, le président congolais était au mémorial Antoine Agostinho Neto, un vrai musée de l'histoire non seulement du père de l'indépendance de ce pays mais aussi de toute la nation angolaise. "Ma visite en ce temple de l'histoire qu'il habite (A. A Neto) pour l'éternité, est le signe de notre reconnaissance et de notre fidélité à ce combat permanent". A écrit Denis Sassou N’Guesso dans le livre d’or.
Mais au-delà des rappels historiques d’une lutte commune, de la solidarité et de l’assistance mutuelle entre les deux pays, les deux chefs d’Etat ont mis l’accent sur la nécessité pour eux de garantir la paix, la stabilité et le bien-être de leurs peuples respectifs.
C’est un devoir moral, que le président angolais, José Eduard Dos Santos a décliné comme un ensemble d’objectifs auxquels se greffe la confiance mutuelle qui cimente la coopération. Selon le président angolais, les deux peuples marchent, aujourd’hui, souverainement vers « le développement qui proportionne le bien-être, la joie la paix, la sécurité à tous les citoyens », après des luttes communes.
Pour Denis Sassou N’Guesso, leur génération à le devoir de sauvegarder les acquis. « Pour les gens de notre génération, a-t-il déclaré, c’est le moment ou jamais qu’il faut agir, qu’il faut cimenter cet acquis dans un socle inaltérable ». Une relation marquée par d’immenses sacrifices et des engagements stratégiques » ne devrait être banalisée, au nom de la mondialisation.
Les accords signés entre les deux pays portent essentiellement sur La coopération technique et militaire, la suppression des visas pour les détenteurs des passeports de service et diplomatiques, le commerce transfrontalier, le transport aérien, la marine marchande et le transport routier, ainsi que le sport.
Après la session de la commission mixte de coopération, le président congolais s'est adressé à l'assemblée nationale angolaise où, devant les députés, il a rappelé l'encrage historique des relations entre le Congo et l'Angola. Lesquelles remontent au 19è siècle avec, et selon lui, ne se résument pas l'arrivée sur le sol congolais en août 1960 de courageux fils de l'Angola engagés dans un rude combat contre l'occupation étrangère (allusion à l'installation du MPLA à Brazzaville).
Ce dernier a trouvé, notamment, en 1464 un repère du passé que les deux pays "ont en partage comme legs de la mémoire collective de certains de leurs peuples". Il s'agit du royaume du Kongo découvert cette année là (1464) par Diego Câo.
A noter qu’ qu'avant de co- patronner l'ouverture de la session de la commission mixte, le président congolais était au mémorial Antoine Agostinho Neto, un vrai musée de l'histoire non seulement du père de l'indépendance de ce pays mais aussi de toute la nation angolaise. "Ma visite en ce temple de l'histoire qu'il habite (A. A Neto) pour l'éternité, est le signe de notre reconnaissance et de notre fidélité à ce combat permanent". A écrit Denis Sassou N’Guesso dans le livre d’or.
Mais au-delà des rappels historiques d’une lutte commune, de la solidarité et de l’assistance mutuelle entre les deux pays, les deux chefs d’Etat ont mis l’accent sur la nécessité pour eux de garantir la paix, la stabilité et le bien-être de leurs peuples respectifs.
C’est un devoir moral, que le président angolais, José Eduard Dos Santos a décliné comme un ensemble d’objectifs auxquels se greffe la confiance mutuelle qui cimente la coopération. Selon le président angolais, les deux peuples marchent, aujourd’hui, souverainement vers « le développement qui proportionne le bien-être, la joie la paix, la sécurité à tous les citoyens », après des luttes communes.
Pour Denis Sassou N’Guesso, leur génération à le devoir de sauvegarder les acquis. « Pour les gens de notre génération, a-t-il déclaré, c’est le moment ou jamais qu’il faut agir, qu’il faut cimenter cet acquis dans un socle inaltérable ». Une relation marquée par d’immenses sacrifices et des engagements stratégiques » ne devrait être banalisée, au nom de la mondialisation.