Apres Brazzaville, Pointe –Noire, Oyo-Ollombo, une quatrième zone économique spéciale est en voie d’être créée au Congo. L’ambition affichée étant de générer près de 10% de PIB. Avec des études qui sont désormais disponibles pour sa création, cette quatrième zone économique spéciale, sera basée sur la relance des filières du cacao, du café, du palmier à huile, et d’autres rentes essentielles.
Cette vision du gouvernement congolais, selon le ministre en charge des grands travaux, Jean Jacques Bouya, trouve sa justification sur les opportunités économiques que présente cette ville de Ouesso. Alluvion a été faite ici à la relance des filières agricoles, hier chancelante, commençant à enregistrer quelques performances contribuant au PIB. Il a indiqué que, le bond est passé de 3 ,3% à 4,3% entre 2010 et 2014. Sur cette même lancée, l’industrie manufacturière a également progressé, passant de 3,6% à 4, 5%, durant la même période.
Face à cette embellie, a renchéri le ministre congolais, la sangha se positionne chaque jour en « un réel pôle économique » et le rapport d’enquête de l’institut national de la statistique, cité pour la circonstance, atteste que le temps mis pour trouver un véhicule afin d’accélérer les échanges entre les bassins de production et les centres de consommation estimé à cinq jours dans la Sangha s’est considérablement amélioré.
Il est à signaler que, des grands projets d’intérêt national et sous régional ont été réalisés pour la préparation de la municipalisation accélérée. Parmi lesquels, la construction de la route ketta-Djoum, lot numéro 1, avec 85% de réalisation et la construction du barrage de Liouesso pour un état d’avancement des travaux de 40%. Le budget pluriannuel e la municipalisation accélérée de la Sangha sera de l’ordre de 400 milliards de francs CFA. Quant aux projets ayant déjà reçu des adjudications, ils sont estimés à 132 milliards 056 millions 758 mille 524 FCFA.
Cette vision du gouvernement congolais, selon le ministre en charge des grands travaux, Jean Jacques Bouya, trouve sa justification sur les opportunités économiques que présente cette ville de Ouesso. Alluvion a été faite ici à la relance des filières agricoles, hier chancelante, commençant à enregistrer quelques performances contribuant au PIB. Il a indiqué que, le bond est passé de 3 ,3% à 4,3% entre 2010 et 2014. Sur cette même lancée, l’industrie manufacturière a également progressé, passant de 3,6% à 4, 5%, durant la même période.
Face à cette embellie, a renchéri le ministre congolais, la sangha se positionne chaque jour en « un réel pôle économique » et le rapport d’enquête de l’institut national de la statistique, cité pour la circonstance, atteste que le temps mis pour trouver un véhicule afin d’accélérer les échanges entre les bassins de production et les centres de consommation estimé à cinq jours dans la Sangha s’est considérablement amélioré.
Il est à signaler que, des grands projets d’intérêt national et sous régional ont été réalisés pour la préparation de la municipalisation accélérée. Parmi lesquels, la construction de la route ketta-Djoum, lot numéro 1, avec 85% de réalisation et la construction du barrage de Liouesso pour un état d’avancement des travaux de 40%. Le budget pluriannuel e la municipalisation accélérée de la Sangha sera de l’ordre de 400 milliards de francs CFA. Quant aux projets ayant déjà reçu des adjudications, ils sont estimés à 132 milliards 056 millions 758 mille 524 FCFA.