Une vue de la conférence de presse
Au cours d'un échange avec la presse nationale et internationale, le coordonnateur du projet a indiqué que les travaux de construction de la première phase du projet CAB, reliant le Congo et le Gabon par Mbinda sont achevés et que l'inauguration devrait intervenir avant la fin de cette année.
D'un intérêt capital,cette infrastructure télé-communicationnelle permettra d'inter connecter les deux États. Elle sera inaugurée en présence des ministres Léon Juste Ibombo et Alain-Claude Bilie By Nze, respectivement ministre congolais des Postes, des Télécommunications et de économie numérique ; et ministre d’Etat gabonais, ministre économie numérique, de la Communication, de la Culture et des Arts, Porte-Parole du gouvernement.
Lancé au Congo en 2011 , le projet CAB s'est attelé , en mai 2015, d'engager les travaux de construction de cette interconnexion. Ces travaux ont été co-financés par l’Etat congolais et la Banque mondiale, pour un montant total de 15 millions de dollars américains.
Dans son volet infrastructure, le projet porte sur la construction d’une dorsale optique de 521km entre Pointe-Noire et Mbinda (département du Niari), vers la frontière du Gabon. Cette dorsale sera reliée avec une autre, également en cours de construction du côté du Gabon, précisément entre Libreville et Lekoko, longue de 1075 km. Cette phase achevée offre au Congo un autre point d'acces à internet haut débit.
Yvon Didier Miehakanda a signifié que les principales cibles du projet CAB sont les opérateurs de services (opérateurs télécom, de télévision et de radio) ; les prestataires de service (fournisseurs d’accès à Internet, fournisseurs de services à valeur ajoutée, PME et entreprises des technologies de l’information et de la communication) ; et l’administration gabonaise (interconnexion du réseau de l’administration gabonaise).
Si l'accès à Internet a considérablement changé les habitudes d’une grande partie des populations, avec le projet CAB le taux de pénétration d'Internet évoluera considérablement , a soutenu le Coordonnateur dudit projet, M. Miehakanda, dans ce jeu de questions-réponses avec la presse.
Présentant à la presse les perspectives de ce projet CAB, Yvon Didier Miehakanda a précisé que, la deuxième phase consistera à construire un «Data Center», ou centre des données indispensable à l'essor du numérique et des télécommunications au Congo, qui servira à la fois de Data Center gouvernemental et commercial, du projet du e-gouvernement, et d’autres activités liées au renforcement des capacités des structures
A signaler que,cette évolution technologique permettra aujourd'hui d'accéder davantage à divers services Internet ou vidéo grâce à l'ouverture du marché à la concurrence. Ce qui justifie l'intérêt pour l'Etat congolais de de mettre à la disposition du public congolais l'internet haut débit de manière harmonieuse et dynamique.
D'un intérêt capital,cette infrastructure télé-communicationnelle permettra d'inter connecter les deux États. Elle sera inaugurée en présence des ministres Léon Juste Ibombo et Alain-Claude Bilie By Nze, respectivement ministre congolais des Postes, des Télécommunications et de économie numérique ; et ministre d’Etat gabonais, ministre économie numérique, de la Communication, de la Culture et des Arts, Porte-Parole du gouvernement.
Lancé au Congo en 2011 , le projet CAB s'est attelé , en mai 2015, d'engager les travaux de construction de cette interconnexion. Ces travaux ont été co-financés par l’Etat congolais et la Banque mondiale, pour un montant total de 15 millions de dollars américains.
Dans son volet infrastructure, le projet porte sur la construction d’une dorsale optique de 521km entre Pointe-Noire et Mbinda (département du Niari), vers la frontière du Gabon. Cette dorsale sera reliée avec une autre, également en cours de construction du côté du Gabon, précisément entre Libreville et Lekoko, longue de 1075 km. Cette phase achevée offre au Congo un autre point d'acces à internet haut débit.
Yvon Didier Miehakanda a signifié que les principales cibles du projet CAB sont les opérateurs de services (opérateurs télécom, de télévision et de radio) ; les prestataires de service (fournisseurs d’accès à Internet, fournisseurs de services à valeur ajoutée, PME et entreprises des technologies de l’information et de la communication) ; et l’administration gabonaise (interconnexion du réseau de l’administration gabonaise).
Si l'accès à Internet a considérablement changé les habitudes d’une grande partie des populations, avec le projet CAB le taux de pénétration d'Internet évoluera considérablement , a soutenu le Coordonnateur dudit projet, M. Miehakanda, dans ce jeu de questions-réponses avec la presse.
Présentant à la presse les perspectives de ce projet CAB, Yvon Didier Miehakanda a précisé que, la deuxième phase consistera à construire un «Data Center», ou centre des données indispensable à l'essor du numérique et des télécommunications au Congo, qui servira à la fois de Data Center gouvernemental et commercial, du projet du e-gouvernement, et d’autres activités liées au renforcement des capacités des structures
A signaler que,cette évolution technologique permettra aujourd'hui d'accéder davantage à divers services Internet ou vidéo grâce à l'ouverture du marché à la concurrence. Ce qui justifie l'intérêt pour l'Etat congolais de de mettre à la disposition du public congolais l'internet haut débit de manière harmonieuse et dynamique.