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Selon l’institution de Breton Woods la croissance de l’économie congolaise est soutenue par les activités pétrolières et non pétrolières qui devraient croître respectivement de 4.2 % et 3.5%. Cette reprise économique demeure fragile, selon la Banque mondiale qui précise que cette fragilité est due à l’instabilité de la production pétrolière sur le marché mondial.
Malgré le contexte économique et social difficiles qui n’épargne aucun pays, le 11ème rapport de la Banque mondiale sur la situation économique du Congo souligne que l'inflation s’est accélérée en 2023 atteignant 4,3% en moyenne.
Par ailleurs, la Banque mondiale juge important que la République du Congo conçoive des instruments fiscaux efficaces pour une croissance économique durable, au regard des 2/3 du territoire national occupé par les forêts.
L’institution financière mondiale a reconnu les efforts fournis par le Congo sur le maintien du taux de déforestation faible et stable. En effet, au cours de la dernière décennie, le Congo a entrepris d'importantes réformes dans sa politique forestière pour renforcer la durabilité avec, notamment, un nouveau code forestier promulgué en 2020.
Dans cette perspective, le pays s'est aussi engagé à réduire ses émissions de CO2 de 32 % d'ici 2030, nécessitant, pour cela, un soutien financier extérieur d’environ 7,1 milliards de dollars. Cette enveloppe pourra contribuer à l’atténuation et à l’adaptation au changement climatique. Malgré le rôle crucial que joue la forêt congolaise, ainsi que les forêts du bassin du Congo en général, les financements internationaux restent encore insuffisants, souligne la Banque mondiale.
Malgré le contexte économique et social difficiles qui n’épargne aucun pays, le 11ème rapport de la Banque mondiale sur la situation économique du Congo souligne que l'inflation s’est accélérée en 2023 atteignant 4,3% en moyenne.
Par ailleurs, la Banque mondiale juge important que la République du Congo conçoive des instruments fiscaux efficaces pour une croissance économique durable, au regard des 2/3 du territoire national occupé par les forêts.
L’institution financière mondiale a reconnu les efforts fournis par le Congo sur le maintien du taux de déforestation faible et stable. En effet, au cours de la dernière décennie, le Congo a entrepris d'importantes réformes dans sa politique forestière pour renforcer la durabilité avec, notamment, un nouveau code forestier promulgué en 2020.
Dans cette perspective, le pays s'est aussi engagé à réduire ses émissions de CO2 de 32 % d'ici 2030, nécessitant, pour cela, un soutien financier extérieur d’environ 7,1 milliards de dollars. Cette enveloppe pourra contribuer à l’atténuation et à l’adaptation au changement climatique. Malgré le rôle crucial que joue la forêt congolaise, ainsi que les forêts du bassin du Congo en général, les financements internationaux restent encore insuffisants, souligne la Banque mondiale.