Une vue des jeunes formés en maraîchage par le FONEA
Pour le directeur général du FONEA, « une jeunesse sans éducation, nous posera toujours des problèmes auxquels on est confronté aujourd'hui ». Il faut donc, estime M. Patrick Robert Ntsibat « doter nos jeunes de compétences pour qu'ils puissent s'occuper et servir le pays ».
Selon son directeur général, le FONEA a pour mission principale de promouvoir l'employabilité et l'apprentissage, grâce à des formations qualifiantes et à l'auto emploi. Il considère que dans un pays comme le Congo où 47% de la population à moins de 18 ans et où 42% des jeunes dont l'âge est compris entre 15 et 35 ans ne sont ni à l'école ni en apprentissage et ne travaillent pas, cela constitue une interpellation collective.
Un engagement réel des pouvoirs publics
A l’avis de M. Patrick Robert Ntsibat, la question de l’employabilité et de l’apprentissage implique d’abord les pouvoirs publics qui mettent à disposition des moyens conséquents pour que la jeunesse soit prise en compte. « Parlant des pouvoirs publics, il n'y a pas que le gouvernement, mais aussi des instruments comme le FONEA, qui doit aussi jouer pleinement son rôle, parce qu'on a toujours l'habitude de se plaindre des moyens. Mais en réalité, même avec peu, il faut commencer à montrer les signes. C'est ce que le FONEA essaie de faire ».
Certes, l'Etat met les moyens à disposition, mais il y a aussi l'animation concrète des structures dédiées à combler ce gap de compétences et la jeunesse elle-même, a relevé l'orateur tout en précisant que celle-ci doit s'approprier les instruments créés par l'Etat pour son bénéfice. La jeunesse doit être, elle-même, motivée, a exhorté Patrick Robert Ntsibat.
La nécessité d’une prise de conscience par les jeunes
« Il y a beaucoup des jeunes qui peuvent charger des mégas pour leurs téléphones Android pour passer beaucoup plus de temps sur des échanges WhatsApp, Tik-tok. Mais ils ne consacrent même pas quelques gigas ou méga pour surfer, afin de trouver l’information relative à l'emploi ou à la formation », a déploré le directeur général de FONEA.
Il a invité l'Etat à jouer pleinement son rôle et les jeunes à s’impliquer eux-mêmes. Son souhait est que les ressources soient effectivement affectées aux structures dédiées aux questions des jeunes ». M. Patrick Robert Ntsibat a surtout interpellé la jeunesse sur le bon choix qu’elle doit faire : « il y a la formation pour des gens qui vont aller vers l'emploi salarié. Il y en aussi pour ceux qui doivent se mettre à leur propre compte, c'est-à-dire l’auto emploi », a-t-il conclu.
Selon son directeur général, le FONEA a pour mission principale de promouvoir l'employabilité et l'apprentissage, grâce à des formations qualifiantes et à l'auto emploi. Il considère que dans un pays comme le Congo où 47% de la population à moins de 18 ans et où 42% des jeunes dont l'âge est compris entre 15 et 35 ans ne sont ni à l'école ni en apprentissage et ne travaillent pas, cela constitue une interpellation collective.
Un engagement réel des pouvoirs publics
A l’avis de M. Patrick Robert Ntsibat, la question de l’employabilité et de l’apprentissage implique d’abord les pouvoirs publics qui mettent à disposition des moyens conséquents pour que la jeunesse soit prise en compte. « Parlant des pouvoirs publics, il n'y a pas que le gouvernement, mais aussi des instruments comme le FONEA, qui doit aussi jouer pleinement son rôle, parce qu'on a toujours l'habitude de se plaindre des moyens. Mais en réalité, même avec peu, il faut commencer à montrer les signes. C'est ce que le FONEA essaie de faire ».
Certes, l'Etat met les moyens à disposition, mais il y a aussi l'animation concrète des structures dédiées à combler ce gap de compétences et la jeunesse elle-même, a relevé l'orateur tout en précisant que celle-ci doit s'approprier les instruments créés par l'Etat pour son bénéfice. La jeunesse doit être, elle-même, motivée, a exhorté Patrick Robert Ntsibat.
La nécessité d’une prise de conscience par les jeunes
« Il y a beaucoup des jeunes qui peuvent charger des mégas pour leurs téléphones Android pour passer beaucoup plus de temps sur des échanges WhatsApp, Tik-tok. Mais ils ne consacrent même pas quelques gigas ou méga pour surfer, afin de trouver l’information relative à l'emploi ou à la formation », a déploré le directeur général de FONEA.
Il a invité l'Etat à jouer pleinement son rôle et les jeunes à s’impliquer eux-mêmes. Son souhait est que les ressources soient effectivement affectées aux structures dédiées aux questions des jeunes ». M. Patrick Robert Ntsibat a surtout interpellé la jeunesse sur le bon choix qu’elle doit faire : « il y a la formation pour des gens qui vont aller vers l'emploi salarié. Il y en aussi pour ceux qui doivent se mettre à leur propre compte, c'est-à-dire l’auto emploi », a-t-il conclu.