Le président de la République Démocratique du Congo a regagné Kinshasa ce vendredi, 8 février 2019. Après Luanda en Angola, Nairobi au Kenya, c’est à Brazzaville au Congo que le chef de l’Etat de la RDC, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a tiré les enseignements de sa première tournée régionale.
Pour lui, sa toute première tournée dans quelques pays africains a un caractère « symbolique ». Il est « symbolique » de commencer ses sorties à l’étranger par l’Afrique, a-t-il fait observer, au terme d’un déjeuner d’entretiens en tête à tête avec son homologue congolais, Denis Sassou-N’Guesso.
Le nouveau locataire du Palais de la Nation a saisi l’instant de cet échange avec la presse congolaise pour justifier son choix porté sur l’Afrique comme étape inaugurale de sa diplomatie extérieure. « J’ai voulu commencer ma tournée par la Région, pour montrer l’importance que j’attache à cette dernière et l’idée que je me fais de l’Afrique de demain », a-t-il soutenu, avant de faire une projection sur la diplomatie qu’il entend mettre en œuvre pendant son quinquennat. Il fallait commencer par l’Afrique, parce qu’elle passe par des liens entre nous, a-t-il déclaré. Pour le président de la RDC, il s’agissait aussi de promouvoir le bon voisinage.
Conscient que son élection à la tête de la RDC a été contestée par certains acteurs politiques, Félix Tshisekedi s’est engagé à apaiser le climat politique, en relevant la nécessité d’apporter des éclairages sur ce qu’aura été le processus électoral dans son pays. L’autre mobile de sa tournée a été ainsi de donner à ses pairs et ses voisins, des éclairages sur le sujet. « Comme vous le savez, il y eu une alternance historique. En plus qu’elle soit pacifique et civilisée, malheureusement elle a été entachée de certains soupçons. Il fallait expliquer ce qui s’est passé chez nous », a-t-il poursuivi.
Ces explications étaient nécessaires, notamment pour Denis Sassou N’Guesso a précisé Félix Tshisekedi. « Il fallait donc lever cela en expliquant à nos partenaires, à nos frères, de la région, particulièrement au président Denis Sassou-N’Guesso, qui est président en exercice de la CIRGL, et au-delà de cela a accompagné notre pays dans ce processus », a poursuivi, le chef de l’Etat de la RDC.
Au terme de ses explications, Félix Antoine Antoine Tshisekedi Tshilombo s’est dit rassuré du soutien de ses pairs et de ses voisins. C’est l’un des enseignements qu’il a tiré de cette tournée africaine : « Je crois que ma mission est accomplie, tout s’est bien passé », s’est-il soulagé, avant de poursuivre : « J’ai été très bien accueilli partout où je suis passé ». J’ai reçu l’assurance du soutien de mes homologues pour la suite des événements, par rapport au mandat que les congolais m’ont confié », a-t-il conclu.
Pour lui, sa toute première tournée dans quelques pays africains a un caractère « symbolique ». Il est « symbolique » de commencer ses sorties à l’étranger par l’Afrique, a-t-il fait observer, au terme d’un déjeuner d’entretiens en tête à tête avec son homologue congolais, Denis Sassou-N’Guesso.
Le nouveau locataire du Palais de la Nation a saisi l’instant de cet échange avec la presse congolaise pour justifier son choix porté sur l’Afrique comme étape inaugurale de sa diplomatie extérieure. « J’ai voulu commencer ma tournée par la Région, pour montrer l’importance que j’attache à cette dernière et l’idée que je me fais de l’Afrique de demain », a-t-il soutenu, avant de faire une projection sur la diplomatie qu’il entend mettre en œuvre pendant son quinquennat. Il fallait commencer par l’Afrique, parce qu’elle passe par des liens entre nous, a-t-il déclaré. Pour le président de la RDC, il s’agissait aussi de promouvoir le bon voisinage.
Conscient que son élection à la tête de la RDC a été contestée par certains acteurs politiques, Félix Tshisekedi s’est engagé à apaiser le climat politique, en relevant la nécessité d’apporter des éclairages sur ce qu’aura été le processus électoral dans son pays. L’autre mobile de sa tournée a été ainsi de donner à ses pairs et ses voisins, des éclairages sur le sujet. « Comme vous le savez, il y eu une alternance historique. En plus qu’elle soit pacifique et civilisée, malheureusement elle a été entachée de certains soupçons. Il fallait expliquer ce qui s’est passé chez nous », a-t-il poursuivi.
Ces explications étaient nécessaires, notamment pour Denis Sassou N’Guesso a précisé Félix Tshisekedi. « Il fallait donc lever cela en expliquant à nos partenaires, à nos frères, de la région, particulièrement au président Denis Sassou-N’Guesso, qui est président en exercice de la CIRGL, et au-delà de cela a accompagné notre pays dans ce processus », a poursuivi, le chef de l’Etat de la RDC.
Au terme de ses explications, Félix Antoine Antoine Tshisekedi Tshilombo s’est dit rassuré du soutien de ses pairs et de ses voisins. C’est l’un des enseignements qu’il a tiré de cette tournée africaine : « Je crois que ma mission est accomplie, tout s’est bien passé », s’est-il soulagé, avant de poursuivre : « J’ai été très bien accueilli partout où je suis passé ». J’ai reçu l’assurance du soutien de mes homologues pour la suite des événements, par rapport au mandat que les congolais m’ont confié », a-t-il conclu.