Au total 20 agents de la Police technique et scientifique (Pts), dont 14 éléments de la police et six de la gendarmerie ont reçu leurs diplômes de fin de formation sur la dactyloscopie. C’était à l’occasion de la cérémonie de clôture le 30 novembre 2017, à l’École nationale de police d’Abidjan-Cocody.
Cette formation, financée par le ministère français des Affaires étrangères et pilotée par sa direction de la coopération de sécurité et de défense, s’inscrit dans le cadre du projet dénommé: « Appui au renforcement de la police technique et scientifique en Afrique de l’ouest » (Artecao).
Son coordonnateur régional, Philippe Vellard, a défini la dactyloscopie comme étant « une matière qui vise les techniques d’identification par l’analyse et la comparaison des dactylogrammes. C'est-à-dire, le dessin papillaire (empreinte digitale et palmaire) qui est propre à chaque être humain ». Parlant de son utilité, il a signifié qu’il sert à « établir le lien entre un indice qui est découvert sur la scène d’une infraction et tout individu signalé comme suspect ».
Philippe Vellard a relevé que cette formation qui visait à renforcer les capacités techniques de ces agents déjà formés, puis à augmenter leur nombre et à vérifier leurs capacités à devenir des formateurs, tant sur le plan national que régional, a porté spécifiquement sur les points suivants: « la préservation des traces et indices, les gestes du premier intervenant, les techniques de signalisation, la photographie des traces sur la scène d’infraction, les moyens des révélations physico-chimiques, la définition des formes, dessins, figures, l’orientation des traces et leurs comparaisons et identification ».
Pour la formatrice, Karine Dupuy, technicienne en chef en Pts, au service régional d’identité judiciaire de Bordeaux en France, « la formation s’est déroulée à la fois de façon théorique et pratique sur les deux semaines, avec beaucoup d’exercices ».
Au nom du directeur général adjoint de la police nationale et en charge de la Pts, général Dibi Koffi Bruno, le directeur du Laboratoire central de la police nationale (Lcpn), le médecin-commissaire principal Akabrou Nouhoua, par ailleurs coordonnateur national du projet Artecao, a souligné les retours parvenus à la hiérarchie, au cours de cette formation.
Dans son adresse aux nouveaux diplômés en dactyloscopie, il leur a signifié qu’ils ont désormais pour devoir de « transmettre la formation acquise à leurs collègues, en vue de faire évoluer la mise à niveau de tous ».
Le directeur du Lcpn a dit nourrir l’espoir que ces connaissances reçues depuis cette septième session de formation, permettront à la Pts de « franchir un palier ». Non sans signifier que la Pts doit tendre à « confronter son niveau de connaissances avec ce qui se fait ailleurs ».
Traduisant la reconnaissance des hiérarchies de la police et de la gendarmerie au projet Artecao, le médecin-commissaire principal Akabrou Nouhoua a annoncé un projet de mise en place de la documentation criminelle pour les enquêtes.
Ainsi, au nom de ses pairs stagiaires-diplômés, le capitaine de police Assiélou Séverin, a assuré de la mise en pratique des acquis de cette formation, afin de lutter contre la grande criminalité sous toutes ces formes. Il a exprimé leur gratitude au projet Artecao, à la hiérarchie de la police et à celle de la gendarmerie, ainsi qu’à la formatrice Karine Dupuy, à qui ils ont offert des présents.
Cette formation, financée par le ministère français des Affaires étrangères et pilotée par sa direction de la coopération de sécurité et de défense, s’inscrit dans le cadre du projet dénommé: « Appui au renforcement de la police technique et scientifique en Afrique de l’ouest » (Artecao).
Son coordonnateur régional, Philippe Vellard, a défini la dactyloscopie comme étant « une matière qui vise les techniques d’identification par l’analyse et la comparaison des dactylogrammes. C'est-à-dire, le dessin papillaire (empreinte digitale et palmaire) qui est propre à chaque être humain ». Parlant de son utilité, il a signifié qu’il sert à « établir le lien entre un indice qui est découvert sur la scène d’une infraction et tout individu signalé comme suspect ».
Philippe Vellard a relevé que cette formation qui visait à renforcer les capacités techniques de ces agents déjà formés, puis à augmenter leur nombre et à vérifier leurs capacités à devenir des formateurs, tant sur le plan national que régional, a porté spécifiquement sur les points suivants: « la préservation des traces et indices, les gestes du premier intervenant, les techniques de signalisation, la photographie des traces sur la scène d’infraction, les moyens des révélations physico-chimiques, la définition des formes, dessins, figures, l’orientation des traces et leurs comparaisons et identification ».
Pour la formatrice, Karine Dupuy, technicienne en chef en Pts, au service régional d’identité judiciaire de Bordeaux en France, « la formation s’est déroulée à la fois de façon théorique et pratique sur les deux semaines, avec beaucoup d’exercices ».
Au nom du directeur général adjoint de la police nationale et en charge de la Pts, général Dibi Koffi Bruno, le directeur du Laboratoire central de la police nationale (Lcpn), le médecin-commissaire principal Akabrou Nouhoua, par ailleurs coordonnateur national du projet Artecao, a souligné les retours parvenus à la hiérarchie, au cours de cette formation.
Dans son adresse aux nouveaux diplômés en dactyloscopie, il leur a signifié qu’ils ont désormais pour devoir de « transmettre la formation acquise à leurs collègues, en vue de faire évoluer la mise à niveau de tous ».
Le directeur du Lcpn a dit nourrir l’espoir que ces connaissances reçues depuis cette septième session de formation, permettront à la Pts de « franchir un palier ». Non sans signifier que la Pts doit tendre à « confronter son niveau de connaissances avec ce qui se fait ailleurs ».
Traduisant la reconnaissance des hiérarchies de la police et de la gendarmerie au projet Artecao, le médecin-commissaire principal Akabrou Nouhoua a annoncé un projet de mise en place de la documentation criminelle pour les enquêtes.
Ainsi, au nom de ses pairs stagiaires-diplômés, le capitaine de police Assiélou Séverin, a assuré de la mise en pratique des acquis de cette formation, afin de lutter contre la grande criminalité sous toutes ces formes. Il a exprimé leur gratitude au projet Artecao, à la hiérarchie de la police et à celle de la gendarmerie, ainsi qu’à la formatrice Karine Dupuy, à qui ils ont offert des présents.