Le processus de la mise en œuvre de l’Accord sur la facilitation des échanges (Afe) de l’Organisation mondiale du commerce (Omc) réuni en session de formation depuis le 13 juin et ce jusqu’au 16 du même mois, les membres du Comité national de facilitation des échanges (Cnfe) de Côte d’Ivoire.
Issus d’institutions gouvernementales et de structures techniques, les membres du Cnfe auront à se familiariser avec la préparation des plans de travail qui assureront la mise en œuvre d’une vingtaine de dispositions de facilitation des échanges. Lesquelles dispositions sont censées apporter de la transparence et de la crédibilité à l’importation, l’exportation et le transit.
Selon le formateur, Pierre Bonthonneau du Centre du commerce international à Genève, il s’agit de « tracer le chemin que la Côte d’Ivoire doit parcourir pour que l’ensemble des dispositions de l’accord de l’Omc qui est juridiquement contraignant soient mis en œuvre. Et en prenant en compte les contrainte et les exigences ».
Il a précisé que l’Afe a pour objectif de « simplifier toutes les procédures aux frontières de manière à ce que les entreprises puissent importées et exportées à moindre coût, dans un moindre délai et être du coup, plus compétitives sur les marchés internationaux ».
Pierre Bonthonneau a également relevé que de façon générale, la Côte d’Ivoire est un pays avancé en matière de facilitation des échanges dans la sous-région. Avec son guichet unique, ses procédures simplifiées et un niveau de professionnalisme reconnu.
« L’économie marche. Beaucoup d’investisseurs arrivent. Et cela montre que la Côte d’Ivoire est un bon élève en matière de facilitation des échanges. Néanmoins, d’autres mesures restent encore à mettre en œuvre, pour qu’elle soit en totale conformité avec l’accord de l’Omc », a-t-il indiqué.
Au nom du ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des Pme, le sous-directeur de l’organisation et accord du commerce international, Coulibaly Kignonfolo a signifié que la question de la facilitation des échanges connaît un dénouement heureux depuis fin 2013. Le représentant du ministre Souleymane Diarrassouba a en outre souligné que cette troisième session de formation, « doit servir de cadre pour comprendre les dispositions de l’Afe et s’en approprier ».
Signalons que ce renforcement des capacités est organisé dans le cadre du projet West Africa trade and investment hub (Trade hub), financé par l’Agence américaine pour le développement international (Usaid), en partenariat avec la Conférence des nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) et le Centre du commerce international (Itc).
Issus d’institutions gouvernementales et de structures techniques, les membres du Cnfe auront à se familiariser avec la préparation des plans de travail qui assureront la mise en œuvre d’une vingtaine de dispositions de facilitation des échanges. Lesquelles dispositions sont censées apporter de la transparence et de la crédibilité à l’importation, l’exportation et le transit.
Selon le formateur, Pierre Bonthonneau du Centre du commerce international à Genève, il s’agit de « tracer le chemin que la Côte d’Ivoire doit parcourir pour que l’ensemble des dispositions de l’accord de l’Omc qui est juridiquement contraignant soient mis en œuvre. Et en prenant en compte les contrainte et les exigences ».
Il a précisé que l’Afe a pour objectif de « simplifier toutes les procédures aux frontières de manière à ce que les entreprises puissent importées et exportées à moindre coût, dans un moindre délai et être du coup, plus compétitives sur les marchés internationaux ».
Pierre Bonthonneau a également relevé que de façon générale, la Côte d’Ivoire est un pays avancé en matière de facilitation des échanges dans la sous-région. Avec son guichet unique, ses procédures simplifiées et un niveau de professionnalisme reconnu.
« L’économie marche. Beaucoup d’investisseurs arrivent. Et cela montre que la Côte d’Ivoire est un bon élève en matière de facilitation des échanges. Néanmoins, d’autres mesures restent encore à mettre en œuvre, pour qu’elle soit en totale conformité avec l’accord de l’Omc », a-t-il indiqué.
Au nom du ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des Pme, le sous-directeur de l’organisation et accord du commerce international, Coulibaly Kignonfolo a signifié que la question de la facilitation des échanges connaît un dénouement heureux depuis fin 2013. Le représentant du ministre Souleymane Diarrassouba a en outre souligné que cette troisième session de formation, « doit servir de cadre pour comprendre les dispositions de l’Afe et s’en approprier ».
Signalons que ce renforcement des capacités est organisé dans le cadre du projet West Africa trade and investment hub (Trade hub), financé par l’Agence américaine pour le développement international (Usaid), en partenariat avec la Conférence des nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) et le Centre du commerce international (Itc).