Les femmes du marché Gouro se réclamant de la Coopérative des vivriers du marché Gouro d’Adjamé (Comagoa), exigent le retour de Ta Lou Irié Jeannette, à la tête de la coopérative.
Elles l’on signifié au cours d’une assemblée générale tenue le 29 décembre 2021, qui a vu leur mobilisation, au club municipal de la commue d’Adjamé.
Au dire de Goua Bi Barthélemy, porte-parole de la coalition pour le soutien de Ta Lou Irié Jeannette : « La présidente Ta Lou Irié a été injustement évincée de son fauteuil de présidente de la Comagoa depuis le 23 avril 2012, par un noyau de ses plus proches collaborateurs, entré en dissidence ».
En outre, a-t-il expliqué : « Pendant que cette affaire était pendante devant la justice, les dissidents, n’ayant pas les documents légaux pour agir au nom de la coopérative vont contre toute attente, signer un contrat avec un promoteur pour la reconstruction du Gouro ».
Avant de déclarer : « Nous ne sommes pas contre la reconstruction, ni la modernisation du marché Gouro. C’est d’ailleurs bon pour le développement. Mais, nous nous opposons du fait que les contractants sont illégitimes et par conséquent tous les actes qu’ils posent sont nuls et de nul effet ».
Elles l’on signifié au cours d’une assemblée générale tenue le 29 décembre 2021, qui a vu leur mobilisation, au club municipal de la commue d’Adjamé.
Au dire de Goua Bi Barthélemy, porte-parole de la coalition pour le soutien de Ta Lou Irié Jeannette : « La présidente Ta Lou Irié a été injustement évincée de son fauteuil de présidente de la Comagoa depuis le 23 avril 2012, par un noyau de ses plus proches collaborateurs, entré en dissidence ».
En outre, a-t-il expliqué : « Pendant que cette affaire était pendante devant la justice, les dissidents, n’ayant pas les documents légaux pour agir au nom de la coopérative vont contre toute attente, signer un contrat avec un promoteur pour la reconstruction du Gouro ».
Avant de déclarer : « Nous ne sommes pas contre la reconstruction, ni la modernisation du marché Gouro. C’est d’ailleurs bon pour le développement. Mais, nous nous opposons du fait que les contractants sont illégitimes et par conséquent tous les actes qu’ils posent sont nuls et de nul effet ».
Pour la présidente déchue, Ta Lou Irié Jeannette, la reconstruction du marché Gouro, qui engendre un déguerpissement du site doit se faire avec un dialogue participatif de tous les acteurs, de sorte à minimiser les conséquences sur les activités des vendeuses.
« Les vendeuses ont été déguerpis manu militari du site, dans la nuit du dimanche 2 au lundi 3 janvier 2022. Leurs marchandises ont été détruites entraînant des pertes énormes, lorsqu’on s’imagine que la plupart des vendeuses supportent les frais d’écolage de leurs enfants, puis le loyer à la place de leurs époux, qui ont perdus leurs emplois dans le contexte de Covid-19… ».
Avant de signifier : « Moi, en tant que présidente légitime de la Comagoa, je voulais dialoguer avec l’entrepreneur en charge des travaux, pour le recasement des femmes sur une partie du site, pendant que les travaux démarrent sur l’autre partie, de sorte à toujours assurer la continuité des activités des vendeuses ».
Dans la journée du 3 janvier 2022, la délégation de la présidente déchue a été reçue par le maire de la commune d’Adjamé, Farikou Soumahoro. D’après Goua Bi Barthélemy, la mairie a appelé à l’apaisement. Puis il a été désigné comme médiateur pour rapprocher les deux parties en conflit au sujet de la gestion de la Comagoa, de sorte à trouver un règlement à l’amiable.
Nos tentatives afin de joindre la branche dissidente, en vue recouper l’information sont restées vaines.
« Les vendeuses ont été déguerpis manu militari du site, dans la nuit du dimanche 2 au lundi 3 janvier 2022. Leurs marchandises ont été détruites entraînant des pertes énormes, lorsqu’on s’imagine que la plupart des vendeuses supportent les frais d’écolage de leurs enfants, puis le loyer à la place de leurs époux, qui ont perdus leurs emplois dans le contexte de Covid-19… ».
Avant de signifier : « Moi, en tant que présidente légitime de la Comagoa, je voulais dialoguer avec l’entrepreneur en charge des travaux, pour le recasement des femmes sur une partie du site, pendant que les travaux démarrent sur l’autre partie, de sorte à toujours assurer la continuité des activités des vendeuses ».
Dans la journée du 3 janvier 2022, la délégation de la présidente déchue a été reçue par le maire de la commune d’Adjamé, Farikou Soumahoro. D’après Goua Bi Barthélemy, la mairie a appelé à l’apaisement. Puis il a été désigné comme médiateur pour rapprocher les deux parties en conflit au sujet de la gestion de la Comagoa, de sorte à trouver un règlement à l’amiable.
Nos tentatives afin de joindre la branche dissidente, en vue recouper l’information sont restées vaines.