À l’occasion d’une réunion virtuelle d’une journée réunissant des scientifiques du monde entier à l’initiative de l’OMS, plus de 1 750 experts de 124 pays ont débattu des principales lacunes de connaissances et des priorités de la recherche sur les nouveaux variants du virus. Dans son allocution d’ouverture, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a déclaré que « depuis le premier jour de la pandémie, la science et la recherche ont joué un rôle déterminant dans la riposte et elles continueront demain d’être au cœur de l’action de l’OMS. »
La consultation était structurée autour de six domaines thématiques couvrant l’épidémiologie et la modélisation mathématique, la biologie évolutionnaire, les modèles animaux, les tests et le diagnostic, la prise en charge clinique et, enfin, les traitements et les vaccins.
Les scientifiques ont noté l’importance de la recherche pour détecter et comprendre rapidement l’impact potentiel des nouveaux variants sur les produits de diagnostic, les traitements et les vaccins. Un consensus s’est dégagé sur l’importance d’intégrer la recherche sur les nouveaux variants du SARS-CoV-2 au programme mondial pour la recherche et l’innovation, tout en améliorant la coordination entre les disciplines. Parmi les variants, certains sont associés avec des hausses de la transmissibilité, mais non de la gravité de la maladie. Des recherches sont en cours pour déterminer si ces changements ont eu une incidence sur les outils et les mesures de santé publique.
« À ce jour, pas moins de 350 000 séquences (un chiffre impressionnant) ont été publiquement partagées, mais la plupart proviennent de quelques pays seulement. Si l’on veut que le monde puisse suivre correctement l’évolution du virus, il est indispensable d’améliorer la couverture géographique du séquençage », a déclaré la Dre Maria Van Kerkhove, responsable technique pour le Covid-19 à l’OMS. Le renforcement de la surveillance et des moyens de laboratoire afin de pouvoir suivre les souches qui posent problème doit s’accompagner d’une mise en commun rapide des échantillons de virus et de sérum au moyen de mécanismes convenus sur le plan mondial, de sorte que les travaux de recherche essentiels puissent être engagés rapidement à chaque fois.
Les scientifiques ont souligné l’importance de plateformes nationales de données pour rassembler les données essentielles (cliniques, épidémiologiques et se rapportant au virus) en vue de faciliter la détection et l’évaluation des nouveaux variants du SARS-CoV-2.
La consultation était structurée autour de six domaines thématiques couvrant l’épidémiologie et la modélisation mathématique, la biologie évolutionnaire, les modèles animaux, les tests et le diagnostic, la prise en charge clinique et, enfin, les traitements et les vaccins.
Les scientifiques ont noté l’importance de la recherche pour détecter et comprendre rapidement l’impact potentiel des nouveaux variants sur les produits de diagnostic, les traitements et les vaccins. Un consensus s’est dégagé sur l’importance d’intégrer la recherche sur les nouveaux variants du SARS-CoV-2 au programme mondial pour la recherche et l’innovation, tout en améliorant la coordination entre les disciplines. Parmi les variants, certains sont associés avec des hausses de la transmissibilité, mais non de la gravité de la maladie. Des recherches sont en cours pour déterminer si ces changements ont eu une incidence sur les outils et les mesures de santé publique.
« À ce jour, pas moins de 350 000 séquences (un chiffre impressionnant) ont été publiquement partagées, mais la plupart proviennent de quelques pays seulement. Si l’on veut que le monde puisse suivre correctement l’évolution du virus, il est indispensable d’améliorer la couverture géographique du séquençage », a déclaré la Dre Maria Van Kerkhove, responsable technique pour le Covid-19 à l’OMS. Le renforcement de la surveillance et des moyens de laboratoire afin de pouvoir suivre les souches qui posent problème doit s’accompagner d’une mise en commun rapide des échantillons de virus et de sérum au moyen de mécanismes convenus sur le plan mondial, de sorte que les travaux de recherche essentiels puissent être engagés rapidement à chaque fois.
Les scientifiques ont souligné l’importance de plateformes nationales de données pour rassembler les données essentielles (cliniques, épidémiologiques et se rapportant au virus) en vue de faciliter la détection et l’évaluation des nouveaux variants du SARS-CoV-2.