La crise que traverse la RDC ne laisse pas indifférente la communauté internationale. Président en exercice de la CIRGL, Denis Sassou-N’Guesso ne cesse d’apporter son appui dans la recherche des voies et moyens de sortie de crise.
Ce, 9 janvier, les portes du palais du peuple de Brazzaville se sont ouvertes pour accueillir une délégation de la Conférence épiscopale des évêques du Congo (CENCO), conduite par Monseigneur Marcel Utembi Tapa, archevêque de Kisangani, avait à ses côtés l’abbé Donatien Nsholé Babula, secrétaire général de la CENCO.
Dans le contexte de crise que traverse la RDC, a dit l’abbé Nsholé à la presse, les évêques de la CENCO « sont convaincus que dans le cadre de la coopération internationale, les frères, amis, voisins de la RDC peuvent apporter quelque chose dans la perspective de satisfaire les aspirations du peuple congolais. »
En tant président de la CIRGL chargé du suivi des mécanismes de paix et sécurité en RDC et dans la région des Grands Lacs, Denis Sassou-N’Guesso devrait jouer sa partition. Son expérience dans la résolution des crises africaines et son statut d’ancien facilitateur de la crise de la RDC fait de lui, de facto, un interlocuteur privilégié.
Déclinant l'objet de cette rencontre avec Denis Sassou-N’Guesso, l'homme de Dieu,a expliqué que, c'est « pour partager avec lui leurs convictions, à savoir que seule la mise en œuvre complète de l’accord qui a été signé dans la perspective d’arriver aux élections telles que prévues dans le calendrier, dans un contexte de crise, afin d’obtenir des élections libres, transparentes pour mettre fin à la crise. »
L’Abbé Donatien Nshoté Babula a déploré, en outre, le bilan de la marche du 31 décembre 2017 « qui n’est pas à prendre à la légère dans la situation actuelle » et de tirer sur la sonnette d’alarme « si l’on ne fait pas trop attention, on risque de vivre le pire. »
A noter que, après Brazzaville, le délégation de la CENCO serait attendue en Angolais et au siège de l'union africaine,à Addis Abeba en Ethiopie, indiquent des sources concordantes.
Ce, 9 janvier, les portes du palais du peuple de Brazzaville se sont ouvertes pour accueillir une délégation de la Conférence épiscopale des évêques du Congo (CENCO), conduite par Monseigneur Marcel Utembi Tapa, archevêque de Kisangani, avait à ses côtés l’abbé Donatien Nsholé Babula, secrétaire général de la CENCO.
Dans le contexte de crise que traverse la RDC, a dit l’abbé Nsholé à la presse, les évêques de la CENCO « sont convaincus que dans le cadre de la coopération internationale, les frères, amis, voisins de la RDC peuvent apporter quelque chose dans la perspective de satisfaire les aspirations du peuple congolais. »
En tant président de la CIRGL chargé du suivi des mécanismes de paix et sécurité en RDC et dans la région des Grands Lacs, Denis Sassou-N’Guesso devrait jouer sa partition. Son expérience dans la résolution des crises africaines et son statut d’ancien facilitateur de la crise de la RDC fait de lui, de facto, un interlocuteur privilégié.
Déclinant l'objet de cette rencontre avec Denis Sassou-N’Guesso, l'homme de Dieu,a expliqué que, c'est « pour partager avec lui leurs convictions, à savoir que seule la mise en œuvre complète de l’accord qui a été signé dans la perspective d’arriver aux élections telles que prévues dans le calendrier, dans un contexte de crise, afin d’obtenir des élections libres, transparentes pour mettre fin à la crise. »
L’Abbé Donatien Nshoté Babula a déploré, en outre, le bilan de la marche du 31 décembre 2017 « qui n’est pas à prendre à la légère dans la situation actuelle » et de tirer sur la sonnette d’alarme « si l’on ne fait pas trop attention, on risque de vivre le pire. »
A noter que, après Brazzaville, le délégation de la CENCO serait attendue en Angolais et au siège de l'union africaine,à Addis Abeba en Ethiopie, indiquent des sources concordantes.