Ce n’est pas un procès d’intentions à l’image de celui qu’ils organisent contre le Congo. Il s’agit d’un constat puisé du passé, qui lui, éclaire le présent. Ces médias nous ont l’habitué à ce genre de traitement orienté de l’actualité sur le Congo. Ils savent poser sur le Congo, des tâches noires dont ils ont le secret.
Par exemple, à l’annonce de cette visite et en complicité avec Amnesty internationale, ils ont trouvé l’occasion d’accuser le Congo de violation massive de droits de l’homme, lors de l’opération « Mbata ya Bakolo », lancée à Brazzaville en 2014. Et, quand les élèves congolais ont brouillement protesté contre l’annulation des épreuves du baccalauréat 2015, les médias français y ont vite fait d’y relier le débat sur le changement ou non de la constitution, sans établir entre les deux sujets une relation évidente.
Plus récemment encore, le président français fait un discours au Bénin sur la démocratie, sans évoquer ni le Congo, ni le nom de Denis Sassou N’Guesso. Mais les reporters qui l’accompagnaient dans cette tournée, ont là aussi bonnement aligné le nom du président congolais dans leurs reportages, comme s’ils regrettaient que leur président ne l’ait pas nommé dans son propos.
C’est pourquoi, au-delà de l’importance aussi bien pour la France que pour le Congo, l’Afrique, que pour le monde entier des sujets que traiteront les deux chefs d’Etat, lors de cette visite, les médias français, organiseront dans un amalgame légendaire, un autre procès d’intentions sur le Congo. Fidèles à leur habitude, ils inventeront des histoires de toutes natures, afin de prouver à leur monde que le président congolais n’est ni leur ami, ni celui de leur président, comme si son statut ne suffit pas pour qu’il mérite respect.
Ce n’est un secret pour personne – et, ces médias le savent – le président français n’est pas un ami personnel du président congolais. Par contre, ce qu’ils ne devaient pas feindre d’ignorer est que s’il décide, François Hollande, de recevoir Denis Sassou N’Guesso, c’est qu’il y a des questions importantes pour lesquelles la présence du président congolais s’imposait à l’Elysée.
Quand François Hollande et Denis Sassou N’Guesso évoqueront la paix en Afrique centrale, les médias sonneurs contributeurs de la déstabilisation des pays africains vont passer pieds joints les efforts du président congolais dans la pacification de son propre pays ; efforts qu’il a étendus sur l’Afrique centrale et pourquoi pas sur l’ensemble du continent.
En effet, Denis Sassou N’Guesso s’investi personnellement dans la résolution de conflits dans la sous région. Le cas de la Centrafrique est illustratif de sa volonté de voir, notamment l’Afrique centrale stable et en paix. Il est l’initiateur du pacte panafricain de non agression.
Mais, les médias français éviteront soigneusement d’évoquer ce genre d’actions, pour des raisons qu’ils n’expliquent à personne. Ils vont courir très vite et même de façon anticipée vers la dizaine de Congolais coupés de la réalité du pays, qui s’abreuvent à la source des rumeurs de Paris et qui trouveront l’occasion de justifier leur statut d’exilés volontaires à travers de manifestations sans effet.
Ils seront volubiles sur la politique interne au Congo concernant, par exemple, le changement ou non de la constitution du 20 janvier 2002. Ce sujet leur tient tellement à cœur, qu’ils y perdent la sérénité dans son traitement, au point d’attribuer tout ce qu’ils voudront comme étiquettes à Denis Sassou N’Guesso. Lui, n’a jamais dit qu’il sera candidat en 2016, mais eux, le verront déjà réélu. Prenant pour vérité d’évangile les discours démagogiques de l’opposition dont ils servent de relais, ces allumeurs de feu ne prêteront pas attention aux efforts de recherche du consensus qui caractérise la démarche de Denis Sassou N’Guesso.
Denis Sassou N’Guesso voudraient permettre à son peuple d’exercer son droit démocratique, le plus absolu : celui de décider librement de l’avenir du pays. Mais, eux liront comme de vrais faux devins, une autre idée dans la pensée du chef de l’Etat.
Le président congolais a assuré ses compatriotes : les élections auront selon le calendrier constitutionnel : présidentielle en 2016, législatives en 2017. Mais, les médias français annonceront un autre calendrier et regretteront, au passage, pourquoi les Congolais n’ont toujours pas organisé un chaos dans leur pays, ce qui leur permettrait d’assouvir leur soif.
A leurs yeux, le peuple congolais n’est représenté que par ceux qu’ils aiment, même quand ceux-ci n’ont aucun élu dans le pays : les opposants, les Ong que finance leur pays et ceux qui par simple désir de vivre à Paris ont inventé des motifs pour obtenir le statut d’exilé. Ceux que les Brazzavillois appellent : « exilés volontaires ».
Ils verront en Denis Sassou N’Guesso un dictateur, quand, il n’a jamais, même à titre provisoire instauré, dans son pays, un système qui mettrait entre parenthèses la vie démocratique, par exemple, en suspendant les partis politiques.
Les Congolais attentifs – et ils sont nombreux – constatent que les médias français ne veulent pas que l’on dise quelque chose de bien sur le Congo. Quand une action de développement est menée au Congo, ils exhument toujours un sujet qui, pour eux, est suffisant pour effacer l’impact de l’acte posé dans l’opinion et par conséquent, clouer au pilori la République du Congo.
Par exemple, à l’annonce de cette visite et en complicité avec Amnesty internationale, ils ont trouvé l’occasion d’accuser le Congo de violation massive de droits de l’homme, lors de l’opération « Mbata ya Bakolo », lancée à Brazzaville en 2014. Et, quand les élèves congolais ont brouillement protesté contre l’annulation des épreuves du baccalauréat 2015, les médias français y ont vite fait d’y relier le débat sur le changement ou non de la constitution, sans établir entre les deux sujets une relation évidente.
Plus récemment encore, le président français fait un discours au Bénin sur la démocratie, sans évoquer ni le Congo, ni le nom de Denis Sassou N’Guesso. Mais les reporters qui l’accompagnaient dans cette tournée, ont là aussi bonnement aligné le nom du président congolais dans leurs reportages, comme s’ils regrettaient que leur président ne l’ait pas nommé dans son propos.
C’est pourquoi, au-delà de l’importance aussi bien pour la France que pour le Congo, l’Afrique, que pour le monde entier des sujets que traiteront les deux chefs d’Etat, lors de cette visite, les médias français, organiseront dans un amalgame légendaire, un autre procès d’intentions sur le Congo. Fidèles à leur habitude, ils inventeront des histoires de toutes natures, afin de prouver à leur monde que le président congolais n’est ni leur ami, ni celui de leur président, comme si son statut ne suffit pas pour qu’il mérite respect.
Ce n’est un secret pour personne – et, ces médias le savent – le président français n’est pas un ami personnel du président congolais. Par contre, ce qu’ils ne devaient pas feindre d’ignorer est que s’il décide, François Hollande, de recevoir Denis Sassou N’Guesso, c’est qu’il y a des questions importantes pour lesquelles la présence du président congolais s’imposait à l’Elysée.
Quand François Hollande et Denis Sassou N’Guesso évoqueront la paix en Afrique centrale, les médias sonneurs contributeurs de la déstabilisation des pays africains vont passer pieds joints les efforts du président congolais dans la pacification de son propre pays ; efforts qu’il a étendus sur l’Afrique centrale et pourquoi pas sur l’ensemble du continent.
En effet, Denis Sassou N’Guesso s’investi personnellement dans la résolution de conflits dans la sous région. Le cas de la Centrafrique est illustratif de sa volonté de voir, notamment l’Afrique centrale stable et en paix. Il est l’initiateur du pacte panafricain de non agression.
Mais, les médias français éviteront soigneusement d’évoquer ce genre d’actions, pour des raisons qu’ils n’expliquent à personne. Ils vont courir très vite et même de façon anticipée vers la dizaine de Congolais coupés de la réalité du pays, qui s’abreuvent à la source des rumeurs de Paris et qui trouveront l’occasion de justifier leur statut d’exilés volontaires à travers de manifestations sans effet.
Ils seront volubiles sur la politique interne au Congo concernant, par exemple, le changement ou non de la constitution du 20 janvier 2002. Ce sujet leur tient tellement à cœur, qu’ils y perdent la sérénité dans son traitement, au point d’attribuer tout ce qu’ils voudront comme étiquettes à Denis Sassou N’Guesso. Lui, n’a jamais dit qu’il sera candidat en 2016, mais eux, le verront déjà réélu. Prenant pour vérité d’évangile les discours démagogiques de l’opposition dont ils servent de relais, ces allumeurs de feu ne prêteront pas attention aux efforts de recherche du consensus qui caractérise la démarche de Denis Sassou N’Guesso.
Denis Sassou N’Guesso voudraient permettre à son peuple d’exercer son droit démocratique, le plus absolu : celui de décider librement de l’avenir du pays. Mais, eux liront comme de vrais faux devins, une autre idée dans la pensée du chef de l’Etat.
Le président congolais a assuré ses compatriotes : les élections auront selon le calendrier constitutionnel : présidentielle en 2016, législatives en 2017. Mais, les médias français annonceront un autre calendrier et regretteront, au passage, pourquoi les Congolais n’ont toujours pas organisé un chaos dans leur pays, ce qui leur permettrait d’assouvir leur soif.
A leurs yeux, le peuple congolais n’est représenté que par ceux qu’ils aiment, même quand ceux-ci n’ont aucun élu dans le pays : les opposants, les Ong que finance leur pays et ceux qui par simple désir de vivre à Paris ont inventé des motifs pour obtenir le statut d’exilé. Ceux que les Brazzavillois appellent : « exilés volontaires ».
Ils verront en Denis Sassou N’Guesso un dictateur, quand, il n’a jamais, même à titre provisoire instauré, dans son pays, un système qui mettrait entre parenthèses la vie démocratique, par exemple, en suspendant les partis politiques.
Les Congolais attentifs – et ils sont nombreux – constatent que les médias français ne veulent pas que l’on dise quelque chose de bien sur le Congo. Quand une action de développement est menée au Congo, ils exhument toujours un sujet qui, pour eux, est suffisant pour effacer l’impact de l’acte posé dans l’opinion et par conséquent, clouer au pilori la République du Congo.