Le XVe Sommet de la Francophonie s’est tenu sous le thème «Jeunesse et femme comme facteur de paix et de développement ». Ce thème marque un tournant pour la Francophonie, qui s’oriente vers une dimension économique.
Dans son interview, le président Sassou N’Guesso a déclaré que l’espace francophone est un levier important pour l’amélioration des conditions de vie des jeunes. Appréciant ainsi, et à sa juste valeur, cette vision économique de la Francophonie, du reste affirmée par le titre II de la déclaration de Dakar, avec un accent particulier mis sur les défis de l’emploi, de l’insertion des jeunes et de la valorisation de la femme comme actrice de développement, Le président congolais a salué cette nouvelle orientation.
C’est «Tant mieux si la Francophonie peut prendre cette nouvelle orientation », a déclaré le président congolais, pour qui ce choix est justifié par le fait que la population africaine, qui forme le soubassement de l’espace francophone, sera constituée à plus de 30% des jeunes, dans moins de 30 ans.
Denis Sassou N’Guesso a souligné que cet engagement des dirigeants francophones tient à renforcer l’action économique dans leur espace commun.
A noter que les statistiques prévoient que le nombre de francophones pourrait atteindre les 700 millions d’ici 2025, avec les 2 tiers en Afrique. Ainsi, l’économiste français Jacques Attali, soutient dans un rapport sur la libération de la croissance française que « c’est un grand potentiel de croissance, il y’a une nécessité à en faire une priorité».
C’est sans doute ce qui justifie l’engagement pris par les chefs d’Etat et de gouvernement, présents à Dakar, en décidant de renforcer l’action économique dans l’espace francophone.
largement démarqué des précédents, en termes de perspectives pour ce qui est de la désignation du nouveau secrétaire général et en termes de propositions. L’idée soutenue par le président gabonais, Ali Bongo, de transformer cet espace francophone en zone de libre-échange a eu du répondant.
Dans son interview, le président Sassou N’Guesso a déclaré que l’espace francophone est un levier important pour l’amélioration des conditions de vie des jeunes. Appréciant ainsi, et à sa juste valeur, cette vision économique de la Francophonie, du reste affirmée par le titre II de la déclaration de Dakar, avec un accent particulier mis sur les défis de l’emploi, de l’insertion des jeunes et de la valorisation de la femme comme actrice de développement, Le président congolais a salué cette nouvelle orientation.
C’est «Tant mieux si la Francophonie peut prendre cette nouvelle orientation », a déclaré le président congolais, pour qui ce choix est justifié par le fait que la population africaine, qui forme le soubassement de l’espace francophone, sera constituée à plus de 30% des jeunes, dans moins de 30 ans.
Denis Sassou N’Guesso a souligné que cet engagement des dirigeants francophones tient à renforcer l’action économique dans leur espace commun.
A noter que les statistiques prévoient que le nombre de francophones pourrait atteindre les 700 millions d’ici 2025, avec les 2 tiers en Afrique. Ainsi, l’économiste français Jacques Attali, soutient dans un rapport sur la libération de la croissance française que « c’est un grand potentiel de croissance, il y’a une nécessité à en faire une priorité».
C’est sans doute ce qui justifie l’engagement pris par les chefs d’Etat et de gouvernement, présents à Dakar, en décidant de renforcer l’action économique dans l’espace francophone.
largement démarqué des précédents, en termes de perspectives pour ce qui est de la désignation du nouveau secrétaire général et en termes de propositions. L’idée soutenue par le président gabonais, Ali Bongo, de transformer cet espace francophone en zone de libre-échange a eu du répondant.