Des haut commandants de Boko Haram seraient entré en contact et auraient livrés des informations à l'Etat major des armées du Tchad en échange d'une immunité. Ces contacts auraient permis à l'armée tchadienne d'être informée à l'avance sur plusieurs attaques, notamment celle de Diffa, en territoire nigérien. Ce qui explique également l'étonnante progression de l'armée tchadienne en territoire nigérian, au plus près des bases du groupe Boko Haram.
C'est une information qui n'est pas encore confirmée par des sources indépendantes. Selon certaines indiscrétions, certains commandants de Boko Haram seraient entrés en contact avec l'armée tchadienne et fournissent des renseignements sur plusieurs positions, en contre partie, ils bénéficient d'une immunité en vue d'une possible réédition.
La dernière opération menée par l'armée tchadienne près de Maidugri serait guidé par des éléments de Boko Haram. Ce qui leur a permis de récupérer un nombre important de matériel dont des ordinateurs qui contiennent des informations confidentielles.
A travers un récent communiqué, le groupe terroriste Boko Haram qui laisse transparaitre pour la première fois un aveu de faiblesse, demande au Tchad de mettre fin à son intervention militaire, arguant ne jamais avoir eu l'intention de mettre le pied sur les terres tchadiennes. Boko Haram reconnait pour la première fois que l'intervention de l'armée tchadienne "lui cout tant" sur le terrain. Depuis le début de son intervention, l'armée tchadienne a éliminée des milliers de terroristes. Quelques jours plus tard, le leader de Boko Haram affirme, dans une vidéo, ne pas déclarer la guerre au Tchad et justifie la création de la secte par un manque de démocratie en Afrique, avant de demander au Président de la République Idriss Déby de retirer les troupes tchadiennes.
La détermination de l'armée tchadienne dans sa lutte contre Boko Haram a créé un engouement africain autour du Tchad dans le combat contre le terrorisme. Pour un bon nombre d'observateurs, le Tchad est indirectement entrain de mettre sur pied les bases d'une armée africaine, tant voulue par plusieurs chefs d'Etat africains.
C'est une information qui n'est pas encore confirmée par des sources indépendantes. Selon certaines indiscrétions, certains commandants de Boko Haram seraient entrés en contact avec l'armée tchadienne et fournissent des renseignements sur plusieurs positions, en contre partie, ils bénéficient d'une immunité en vue d'une possible réédition.
La dernière opération menée par l'armée tchadienne près de Maidugri serait guidé par des éléments de Boko Haram. Ce qui leur a permis de récupérer un nombre important de matériel dont des ordinateurs qui contiennent des informations confidentielles.
A travers un récent communiqué, le groupe terroriste Boko Haram qui laisse transparaitre pour la première fois un aveu de faiblesse, demande au Tchad de mettre fin à son intervention militaire, arguant ne jamais avoir eu l'intention de mettre le pied sur les terres tchadiennes. Boko Haram reconnait pour la première fois que l'intervention de l'armée tchadienne "lui cout tant" sur le terrain. Depuis le début de son intervention, l'armée tchadienne a éliminée des milliers de terroristes. Quelques jours plus tard, le leader de Boko Haram affirme, dans une vidéo, ne pas déclarer la guerre au Tchad et justifie la création de la secte par un manque de démocratie en Afrique, avant de demander au Président de la République Idriss Déby de retirer les troupes tchadiennes.
La détermination de l'armée tchadienne dans sa lutte contre Boko Haram a créé un engouement africain autour du Tchad dans le combat contre le terrorisme. Pour un bon nombre d'observateurs, le Tchad est indirectement entrain de mettre sur pied les bases d'une armée africaine, tant voulue par plusieurs chefs d'Etat africains.