Lomé, le 2 septembre 2016- Une cinquantaine d’experts africains examinent depuis jeudi dans la capitale togolaise le projet de charte sur la sécurité maritime qui sera adopté en octobre prochain par les chefs d’Etats du continent.
Il s’agit d’une cinquantaine d’experts qui réfléchissent sur les textes juridiques qui vont régir désormais la sécurité maritime après le Sommet sur la sûreté et la sécurité maritimes et le développement en Afrique.
« Pour que la Conférence des chefs puisse plancher sur cette question, il faut que les préalables soient respectés. Le premier préalable est ce projet de charte par le comité d’experts gouvernementaux sur les questions juridiques », a déclaré le président du Comité des experts de l’UA, Charles Chatouang.
Les experts examinent également au cours de leurs travaux le statut du mécanisme africain de coopération policière (AFRIPOL), les questions de genre et des femmes, le commerce, l’industrie, l’agriculture et l’environnement. Leurs travaux permettront au bureau du conseiller juridique de la commission africaine « de pouvoir traduire les textes dans toutes les quatre langues de l’UA ».
Les conclusions de cette réunion préparatoire seront remises aux différents ministères de la Justice. Au final, ils seront soumis au conseil exécutif et à la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement pour adoption.
A la suite de cette réunion, tous les ministres de la Justice des pays africains sont attendus à Lomé les 8 et 9 septembre pour débattre du projet de charte sur la sécurité maritime.
Il s’agit d’une cinquantaine d’experts qui réfléchissent sur les textes juridiques qui vont régir désormais la sécurité maritime après le Sommet sur la sûreté et la sécurité maritimes et le développement en Afrique.
« Pour que la Conférence des chefs puisse plancher sur cette question, il faut que les préalables soient respectés. Le premier préalable est ce projet de charte par le comité d’experts gouvernementaux sur les questions juridiques », a déclaré le président du Comité des experts de l’UA, Charles Chatouang.
Les experts examinent également au cours de leurs travaux le statut du mécanisme africain de coopération policière (AFRIPOL), les questions de genre et des femmes, le commerce, l’industrie, l’agriculture et l’environnement. Leurs travaux permettront au bureau du conseiller juridique de la commission africaine « de pouvoir traduire les textes dans toutes les quatre langues de l’UA ».
Les conclusions de cette réunion préparatoire seront remises aux différents ministères de la Justice. Au final, ils seront soumis au conseil exécutif et à la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement pour adoption.
A la suite de cette réunion, tous les ministres de la Justice des pays africains sont attendus à Lomé les 8 et 9 septembre pour débattre du projet de charte sur la sécurité maritime.