Le chef de la diplomatie tchadienne Mahamat Saleh Annadif juge peu probable des sanctions de l'Union africaine (UA) à l'encontre du Tchad.
« À partir du moment où l'UA, après le décès du président Idriss Deby et la mise en place du CMT, n'a pas considéré ce changement comme assimilable à un coup d'État, ne l'a pas sanctionné, n’a pas suspendu le Tchad de ses instances, je considère que parler de sanctions à ce stade est peut-être méconnaitre soit les textes, soit c'est l'aveu d'un souhait qui ne se dit pas », réagit Mahamat Saleh Annadif.
« Pour moi qui connait comment fonctionne le conseil de sécurité, les institutions de l'UA, comment par principe de subsidiarité c'est d'abord les communautés économiques régionales qui se saisissent de la question, franchement, je suis de ceux qui estiment qu'il n'y a pas de sanctions prenables à l'encontre du Tchad à ce stade. Toute la discussion était autour de la transition de 24 mois. Aujourd'hui, la CEEAC a réaffirmé son soutien à la transition et qu'elle est prête à l'accompagner », ajoute le ministre d’État.
Mahamat Saleh Annadif « ne pense pas qu'il y ait des sanctions qui planent au-dessus du Tchad ».
« À partir du moment où l'UA, après le décès du président Idriss Deby et la mise en place du CMT, n'a pas considéré ce changement comme assimilable à un coup d'État, ne l'a pas sanctionné, n’a pas suspendu le Tchad de ses instances, je considère que parler de sanctions à ce stade est peut-être méconnaitre soit les textes, soit c'est l'aveu d'un souhait qui ne se dit pas », réagit Mahamat Saleh Annadif.
« Pour moi qui connait comment fonctionne le conseil de sécurité, les institutions de l'UA, comment par principe de subsidiarité c'est d'abord les communautés économiques régionales qui se saisissent de la question, franchement, je suis de ceux qui estiment qu'il n'y a pas de sanctions prenables à l'encontre du Tchad à ce stade. Toute la discussion était autour de la transition de 24 mois. Aujourd'hui, la CEEAC a réaffirmé son soutien à la transition et qu'elle est prête à l'accompagner », ajoute le ministre d’État.
Mahamat Saleh Annadif « ne pense pas qu'il y ait des sanctions qui planent au-dessus du Tchad ».