Au Royaume du Maroc, la journée du 20 août 1953 représente la parfaite symbiose entre le Roi et le peuple et immortalise le sacrifice exemplaire consenti par feu Sa Majesté Mohammed V préférant l’exil à la capitulation et à la soumission aux ordres des autorités du protectorat qu’était la France.
Le courage du défunt Libérateur du Maroc en total harmonie avec celui du peuple marocain a permis de délivrer le pays du joug de la tutelle et du protectorat augurant de l’avènement de l’ère de l’indépendance.
Aussi, en commémoration de cette glorieuse date anniversaire, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a prononcé un important discours.
Dans cette intervention, à l’occasion du 61ème anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple, le Souverain a consacré une place appréciable à l’économie.
Ainsi, le Roi du Maroc a d’entrée dressé le bilan de l’économie marocaine après 15 ans de règne et s’est interrogé sur les capacités du Maroc à intégrer le club des pays émergents.
Pour Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le secteur économique du Royaume du Maroc s’est fortement transformé dans sa structure et a vu une grande diversification dans ses secteurs productifs.
Une donne qui a permis au Maroc de réaliser un taux de croissance substentiel et constant et de préserver les grands équilibres, en dépit des retombées de la crise économique mondiale.
Des résultats plus que positifs conséquents au développement des infrastructures, à l’amélioration du climat des affaires, à la création de pôles compétitifs et à l'essor des énergies renouvelables qui permettent, aujourd’hui, aux entreprises nationales de participer aux appels d’offres et de concurrencer des grandes sociétés étrangères.
Des réussites quantifiables avec la réalisation de pôle industriel suite à l’implantation de la plus grande usine Renault de voitures économiques dans le monde, la fabrication des composantes électroniques et la mise en service de l’usine des câblage pour l’Airbus A380, mais aussi aux plans du réseau autoroutier, de la construction du logement social, des télécommunications, de parcs d’énergie solaire et éolienne, du lancement des Plans Maroc Verts et Haliutis ainsi que de l’émergence de titans bancaires tels Attijariwafa Bank, BMCE et BCP.
Des avancées notables qui ne sont pas dûes au hasard, mais qui sont le résultat d’une vision claire, de stratégies rigoureuses et des efforts consentis par tous les marocains.
Or, a indiqué Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le modèle de développement économique vient d’atteindre un niveau de maturité qui l’autorise à entrer de plein droit dans le concert des pays émergents.
Pour ce faire, a affirmé le Souverain marocain, le Maroc se doit de préserver les acquis, de corriger les dysfonctionnements, stimuler la croissance et l’investissement et coordonner l’ensemble des énergies de toutes ses composantes afin de ne pas rater son rendez-vous avec l’Histoire.
Aussi, le Roi du Maroc a-t-il lancé un appel pressant à la valorisation du capital humain pour exclure l’option d’un Maroc à deux vitesses, des riches qui bénéficient des fruits de la croissance et s'enrichissent davantage, et des pauvres restés en dehors de la dynamique de développement et exposés à plus de pauvreté et de privation, car l’élément humain reste la vraie richesse du Maroc et l’une des composantes essentielles de son capital immatériel.
C’est pourquoi, le Chef de l’Etat marocain a estimé que le Maroc avait tous les atouts pour intégrer le concert des pays émergents et a indiqué que les prochaines années seraient décisives pour atteindre cet objectif.
Un Discours Royal du 20 août 2014 qui s’inscrit dans la droite ligne de celui prononcé à l’occasion de la Fête du Trône le 30 juillet 2014 et qui reflète la permanence de la parfaite et profonde symbiose qui existe entre le Roi et le Peuple et atteste de la volonté du Roi et du Peuple d’aller toujours de l’avant pour construire un avenir meilleur et un Maroc nouveau.
Farid Mnebhi.
Le courage du défunt Libérateur du Maroc en total harmonie avec celui du peuple marocain a permis de délivrer le pays du joug de la tutelle et du protectorat augurant de l’avènement de l’ère de l’indépendance.
Aussi, en commémoration de cette glorieuse date anniversaire, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a prononcé un important discours.
Dans cette intervention, à l’occasion du 61ème anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple, le Souverain a consacré une place appréciable à l’économie.
Ainsi, le Roi du Maroc a d’entrée dressé le bilan de l’économie marocaine après 15 ans de règne et s’est interrogé sur les capacités du Maroc à intégrer le club des pays émergents.
Pour Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le secteur économique du Royaume du Maroc s’est fortement transformé dans sa structure et a vu une grande diversification dans ses secteurs productifs.
Une donne qui a permis au Maroc de réaliser un taux de croissance substentiel et constant et de préserver les grands équilibres, en dépit des retombées de la crise économique mondiale.
Des résultats plus que positifs conséquents au développement des infrastructures, à l’amélioration du climat des affaires, à la création de pôles compétitifs et à l'essor des énergies renouvelables qui permettent, aujourd’hui, aux entreprises nationales de participer aux appels d’offres et de concurrencer des grandes sociétés étrangères.
Des réussites quantifiables avec la réalisation de pôle industriel suite à l’implantation de la plus grande usine Renault de voitures économiques dans le monde, la fabrication des composantes électroniques et la mise en service de l’usine des câblage pour l’Airbus A380, mais aussi aux plans du réseau autoroutier, de la construction du logement social, des télécommunications, de parcs d’énergie solaire et éolienne, du lancement des Plans Maroc Verts et Haliutis ainsi que de l’émergence de titans bancaires tels Attijariwafa Bank, BMCE et BCP.
Des avancées notables qui ne sont pas dûes au hasard, mais qui sont le résultat d’une vision claire, de stratégies rigoureuses et des efforts consentis par tous les marocains.
Or, a indiqué Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le modèle de développement économique vient d’atteindre un niveau de maturité qui l’autorise à entrer de plein droit dans le concert des pays émergents.
Pour ce faire, a affirmé le Souverain marocain, le Maroc se doit de préserver les acquis, de corriger les dysfonctionnements, stimuler la croissance et l’investissement et coordonner l’ensemble des énergies de toutes ses composantes afin de ne pas rater son rendez-vous avec l’Histoire.
Aussi, le Roi du Maroc a-t-il lancé un appel pressant à la valorisation du capital humain pour exclure l’option d’un Maroc à deux vitesses, des riches qui bénéficient des fruits de la croissance et s'enrichissent davantage, et des pauvres restés en dehors de la dynamique de développement et exposés à plus de pauvreté et de privation, car l’élément humain reste la vraie richesse du Maroc et l’une des composantes essentielles de son capital immatériel.
C’est pourquoi, le Chef de l’Etat marocain a estimé que le Maroc avait tous les atouts pour intégrer le concert des pays émergents et a indiqué que les prochaines années seraient décisives pour atteindre cet objectif.
Un Discours Royal du 20 août 2014 qui s’inscrit dans la droite ligne de celui prononcé à l’occasion de la Fête du Trône le 30 juillet 2014 et qui reflète la permanence de la parfaite et profonde symbiose qui existe entre le Roi et le Peuple et atteste de la volonté du Roi et du Peuple d’aller toujours de l’avant pour construire un avenir meilleur et un Maroc nouveau.
Farid Mnebhi.