Répondant à la question du journaliste de France Télévision qui a posé une question en rapport au droit de l'homme surtout sur la disparition le 3 février 2008 de l'opposant tchadien Ibni Oumar Mahamat Saleh, le président tchadien Idriss Déby a dit ceci : "je voudrai vous rappeler M. le journaliste, de quelle télévision déjà? France Télévision, que le Tchad est un pays de droit... ce qui s'est passé en février 2008 reste vivace dans le coeur des tchadiens. Il y a plus de six cents disparus, le gouvernement tchadien a eu le courage de se pencher sur le dossier et nous attendons le résultat de la justice tcahdienne habilitée à se pencher sur cette question".
De son côté le président français François Hollande a tenu à rappeler que "chaque fois qu'il est question des droits de l'homme ou de la disparition d'une personne ou d'un opposant, je fais toujours entendre la voix de la France".
Il faut rappeler qu'aucun des journalistes présents à la conférence de presse n'a osé poser une question relative au droit de l'homme ni à la cherté de la vie. L'animateur chargé de la communication s'est empressé pour rappeler que la conférence de presse concerne la sécurité dans le Sahel.
De son côté le président français François Hollande a tenu à rappeler que "chaque fois qu'il est question des droits de l'homme ou de la disparition d'une personne ou d'un opposant, je fais toujours entendre la voix de la France".
Il faut rappeler qu'aucun des journalistes présents à la conférence de presse n'a osé poser une question relative au droit de l'homme ni à la cherté de la vie. L'animateur chargé de la communication s'est empressé pour rappeler que la conférence de presse concerne la sécurité dans le Sahel.