DJIBOUTI - Le défenseur des droits de l’Homme et membre du conseil national du Parti djiboutien pour le développement (PDD), Hassan Amine Ahmed a été arrêté selon des sources fiables de l’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme, programme conjoint de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT) et de la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH).
Il aurait dénoncé l’arrestation de civils dans la région de Mablas, au nord du pays, et porté assistance à des prisonniers politiques. Selon les informations reçues, le 1er août 2011, M. Hassan Amine Ahmed a été arrêté à Randa, à 40 km de Tadjourah, avant d’être transféré le lendemain vers la capitale, dans les locaux de la Section de recherche et de la documentation (SDR) de la gendarmerie.
Le 8 août 2011, M. Hassan Amine Ahmed a été inculpé pour « participation à un mouvement insurrectionnel » et transféré à la prison de Gabode, où il restait détenu au moment de diffuser cet appel urgent, sans accès ni à un avocat ni à sa famille.
M. Hassan Amine Ahmed aurait été arrêté parce qu’il est soupçonné d’être à l’origine d’informations relatives à l’arrestation de civils dans la région de Mablas, au nord du pays1. Il lui aurait également été reproché de rendre visite et de porter assistance à des prisonniers politiques détenus dans la prison de Gabode.
Il aurait dénoncé l’arrestation de civils dans la région de Mablas, au nord du pays, et porté assistance à des prisonniers politiques. Selon les informations reçues, le 1er août 2011, M. Hassan Amine Ahmed a été arrêté à Randa, à 40 km de Tadjourah, avant d’être transféré le lendemain vers la capitale, dans les locaux de la Section de recherche et de la documentation (SDR) de la gendarmerie.
Le 8 août 2011, M. Hassan Amine Ahmed a été inculpé pour « participation à un mouvement insurrectionnel » et transféré à la prison de Gabode, où il restait détenu au moment de diffuser cet appel urgent, sans accès ni à un avocat ni à sa famille.
M. Hassan Amine Ahmed aurait été arrêté parce qu’il est soupçonné d’être à l’origine d’informations relatives à l’arrestation de civils dans la région de Mablas, au nord du pays1. Il lui aurait également été reproché de rendre visite et de porter assistance à des prisonniers politiques détenus dans la prison de Gabode.