Ce 26 mai 2019, alors que le premier d'entre eux était sur le point d'être licencié, dans un élan de solidarité, 36 cheminots djiboutiens ont déclenché un piquet de grève. Immédiatement, le lieutenant Ahmed (voir photo) mobilisa un peloton de gendarmes pour procéder à l'interpellation des 36 cheminots grévistes ainsi que leur collègue congédié.
Depuis lors, à l'heure où nous écrivons ces lignes, nous ne connaissons toujours pas leur lieu de détention (ni même les familles). Entre les mains de cette gendarmerie, réputée pour commettre impunément des actes de tortures, des traitements inhumains ou dégradants, nous craignons pour l'intégrité physique et psychologique de ces jeunes cheminots, qui pacifiquement réclamaient leurs droits.
Complot en cours :
Nous apprenons, par une source digne de confiance, que toute une machination a été initiée autour de ces arrestations, à savoir : demain (lundi 27 mai 2019), ils seront présentés au parquet de Djibouti pour les faits de violences physiques avec armes à l'encontre de Mr Huge Wang. Selon cette même source, la liste des futurs remplaçants a déjà été soumise pour validation au nouveau ministre des transports.
Pour la énième fois, nous demandons au régime djiboutien : de se conformer aux dispositions constitutionnelles relatives à la protection des citoyens, au respect des libertés fondamentales, à la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, au Pacte international relatif aux droits civils et politiques ainsi qu’à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme ratifiés par la République de Djibouti ; aux textes nationaux notamment la constitution du pays, le code de travail et enfin à l’application des conventions internationales ratifiées par la République de Djibouti.
Dernière minute : nous apprenons que les 37 cheminots sont détenus à la brigade de gendarmerie de Damerjog.
Depuis lors, à l'heure où nous écrivons ces lignes, nous ne connaissons toujours pas leur lieu de détention (ni même les familles). Entre les mains de cette gendarmerie, réputée pour commettre impunément des actes de tortures, des traitements inhumains ou dégradants, nous craignons pour l'intégrité physique et psychologique de ces jeunes cheminots, qui pacifiquement réclamaient leurs droits.
Complot en cours :
Nous apprenons, par une source digne de confiance, que toute une machination a été initiée autour de ces arrestations, à savoir : demain (lundi 27 mai 2019), ils seront présentés au parquet de Djibouti pour les faits de violences physiques avec armes à l'encontre de Mr Huge Wang. Selon cette même source, la liste des futurs remplaçants a déjà été soumise pour validation au nouveau ministre des transports.
Pour la énième fois, nous demandons au régime djiboutien : de se conformer aux dispositions constitutionnelles relatives à la protection des citoyens, au respect des libertés fondamentales, à la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, au Pacte international relatif aux droits civils et politiques ainsi qu’à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme ratifiés par la République de Djibouti ; aux textes nationaux notamment la constitution du pays, le code de travail et enfin à l’application des conventions internationales ratifiées par la République de Djibouti.
Dernière minute : nous apprenons que les 37 cheminots sont détenus à la brigade de gendarmerie de Damerjog.