Déploiement massif des forces de l'ordre à Djibouti pour empêcher les manifestations de l'opposition.
DJIBOUTI (Huno Djibouti) - Mercredi 1er janvier 2014, le régime a interdit le meeting du Nouvel An que l’USN devait tenir dans l’après-midi devant le siège de l’UDJ, parti membre de l’USN, à l’Avenue Nasser, meeting pourtant traditionnel que chaque année les partis djiboutiens d’opposition organisent en ce lieu. Aucun motif valable n’a été opposé à ce refus.
Dès 10 heures, la police, qui a habillé beaucoup de ses hommes en civil, a massivement occupé le lieu. Elle a aussi coupé la banlieue populaire de Balbala du reste de la capitale. Puis elle a procédé à de nombreuses arrestations dans les rangs de l’USN. Des femmes et des hommes de tous âges ont été interpellés avec brutalité et jetés dans les cellules glauques du centre de rétention administrative de Nagad et des différents commissariats de la capitale. Ainsi, treize militants se sont retrouvés au commissariat de police du 2ème arrondissement de la capitale. Il s’agit de Yacin Doualeh Galab dit Harbi, Halima Houssein Elmi, Charmarke Said Darar, Moussa Houmed Mohamed, Abdirazak Djibril Said, Mohamed Elmi Houffaneh, Moussa Houssein Elmi, Kalil Omar Bileh, Mahdiya Khaireh Moussa, Neima Abdi Guireh, Fozia Robleh Hadi (battue par des policiers), Mariam Mohamoud Moussa et Maleko Adaweh Ahmed. Neuf autres ont été entassés à Nagad. Il s’agit de Kaltoun Elmi Waberi, Nima Youssouf, Willo Abass Ali, Souad Hassan Boulboul, Idil Aboubaker Waiss, Fatouma Djama Robleh, Kadra Ali Hassan, Egueh Hassan et Hassan Absieh Ainan. Par ailleurs, les jeunes Djoueria Kadar Elmi, Habad Houssein Robleh, Osman Yonis Bogoreh, Abdoulkarim Barreh Aden et Abdoulaziz Houssein Miguil dit Tamaweyne ont été mis en garde à vue dans les commissariats de Balbala.
Ces interpellés ont été libérés mercredi tard dans la nuit, sauf Osman Yonis Bogoreh, Abdoulkarim Bareh Aden et Abdoulaziz Houssein Miguil dit Timaweyneh qui ont été relâchés hier jeudi au soir. A suivre.
Dès 10 heures, la police, qui a habillé beaucoup de ses hommes en civil, a massivement occupé le lieu. Elle a aussi coupé la banlieue populaire de Balbala du reste de la capitale. Puis elle a procédé à de nombreuses arrestations dans les rangs de l’USN. Des femmes et des hommes de tous âges ont été interpellés avec brutalité et jetés dans les cellules glauques du centre de rétention administrative de Nagad et des différents commissariats de la capitale. Ainsi, treize militants se sont retrouvés au commissariat de police du 2ème arrondissement de la capitale. Il s’agit de Yacin Doualeh Galab dit Harbi, Halima Houssein Elmi, Charmarke Said Darar, Moussa Houmed Mohamed, Abdirazak Djibril Said, Mohamed Elmi Houffaneh, Moussa Houssein Elmi, Kalil Omar Bileh, Mahdiya Khaireh Moussa, Neima Abdi Guireh, Fozia Robleh Hadi (battue par des policiers), Mariam Mohamoud Moussa et Maleko Adaweh Ahmed. Neuf autres ont été entassés à Nagad. Il s’agit de Kaltoun Elmi Waberi, Nima Youssouf, Willo Abass Ali, Souad Hassan Boulboul, Idil Aboubaker Waiss, Fatouma Djama Robleh, Kadra Ali Hassan, Egueh Hassan et Hassan Absieh Ainan. Par ailleurs, les jeunes Djoueria Kadar Elmi, Habad Houssein Robleh, Osman Yonis Bogoreh, Abdoulkarim Barreh Aden et Abdoulaziz Houssein Miguil dit Tamaweyne ont été mis en garde à vue dans les commissariats de Balbala.
Ces interpellés ont été libérés mercredi tard dans la nuit, sauf Osman Yonis Bogoreh, Abdoulkarim Bareh Aden et Abdoulaziz Houssein Miguil dit Timaweyneh qui ont été relâchés hier jeudi au soir. A suivre.