La musique de Djim Radé est basée sur les rythmes traditionnels tchadiens, mais aussi sur des rythmes partagés entre plusieurs pays d'Afrique, comme la rumba ou la fusion entre le Mbalax du Sénégal et le Samagoï du Tchad. Le tout est accompagné d'une harmonie jazz moderne.
L'album se veut également panafricain et rassembleur, avec la participation de plusieurs artistes africains, comme Seydou Keinou du Burkina Faso, Benjamin Tatu Chakamba de la RDC, et Anna Bassy, chanteuse Nigériano-italienne.
Contrairement à son premier EP "Toh Nal" sorti en 2014, Djim Radé chante cette fois-ci dans un style "groovie" sur des thématiques intimes, évoquant le culte de la beauté Sara, la complexité des rapports humains, et des chansons engagées sur l'état de son pays, le Tchad. Cet album jazz fusion, nourri des diverses expériences de l'artiste, surprend l'auditoire dans ce qu'il croit connaître, et lui fait découvrir de nouvelles choses.
L'album se veut également panafricain et rassembleur, avec la participation de plusieurs artistes africains, comme Seydou Keinou du Burkina Faso, Benjamin Tatu Chakamba de la RDC, et Anna Bassy, chanteuse Nigériano-italienne.
Contrairement à son premier EP "Toh Nal" sorti en 2014, Djim Radé chante cette fois-ci dans un style "groovie" sur des thématiques intimes, évoquant le culte de la beauté Sara, la complexité des rapports humains, et des chansons engagées sur l'état de son pays, le Tchad. Cet album jazz fusion, nourri des diverses expériences de l'artiste, surprend l'auditoire dans ce qu'il croit connaître, et lui fait découvrir de nouvelles choses.