Dr. Haroun Kabadi estime que les collectivités décentralisées doivent avoir un minimum de subvention du budget général de l'État pour s'organiser et prendre en charge des service locaux :
Il estime que la différence entre un État fédéral et un État unitaire fortement décentralisé est minime :
Dr. Haroun Kabadi estime que la décentralisation doit également concerner la fonction publique :
Le n°1 du parti MPS prône également une mise à disposition des moyens aux communes :
"Le dialogue doit prendre un engagement ferme pour que la question de la répartition des ressources de ce pays soit constitutionnalisée, comme on l'a fait pour les ressources pétrolières à un moment donné (5% pour la région productrice). (...) Il faudrait que la loi des finances précise clairement ce qui revient aux collectivités locales. C'est comme ça que nous pouvons nous en sortir".
Il estime que la différence entre un État fédéral et un État unitaire fortement décentralisé est minime :
« Pour refonder un pays, il faut prendre des engagements. Certains veulent que ce soit un État fédéral, d’autres un État unitaire fortement décentralisé. Entre les deux, la différence est minime. Mêmes les États fédérés décentralisent leurs activités »
Dr. Haroun Kabadi estime que la décentralisation doit également concerner la fonction publique :
« Il faut faire la décentralisation de la fonction publique pour que les fonctionnaires qui se concentrent à N’Djamena puissent aller dans les provinces, départements (…) pour leur permettre d’avoir une fonction publique expérimentée et compétente, et d’avoir une très bonne décentralisation »
Le n°1 du parti MPS prône également une mise à disposition des moyens aux communes :
"Il faudra également que les communes que nous avons créées, au nombre de 400, puissent avoir les moyens pour se prendre en charge"