Recueillement de Denis Sassou N'Guesso sur la tombe de sa fille
La célébration eucharistique, qui a précédé le recueillement sur la tombe de l’illustre disparue, a été une véritable évocation de la vie et de l’œuvre combien immense de Edith Lucie Bongo Ondimba.
S’appuyant sur l’évangile de Saint Mathieu (chap. 5 : 38-47), l’Evêque du diocèse d’Owando, Monseigneur Victor Abagna Mossa a axé son homélie sur l’Amour et le partage, deux vertus incarnées par celle qui, durant son bref séjour sur terre, a marqué les esprits aussi bien au Congo qu’au-delà des frontières.
Selon l’officiant, le bonheur d’Edith Lucie Bongo Ondimba était dans la recherche du bien de l’autre : faire bien pour les autres, notamment pour les pauvres. Sa grandeur d’esprit, son amour pour le autres, son don du partage demeurent encore gravées dans la conscience collective 8 ans après sa disparition. L’Evêque d’Owando a invité les Congolais à essayer, dans la mesure de leurs moyens, de faire chaque jour un geste d’amour.
«Tu es un météore dont l’éclat demeure à jamais ». Ces mots de Denis Sassou N’Guesso, chargés d’émotion, accueillent tous ceux qui mettent pieds dans le cimetière familial d’Edou Kona kona, où repose en paix et pour l’éternité Edith Lucie Bongo Ondimba.
Son père, le président congolais Denis Sassou N’Guesso a respecté la tradition, en ce 8ème anniversaire de la disparition de celle qu’il affectionnait, en déposant une gerbe de fleur sur sa tombe. L’ancien président béninois, Yayi Boni, présent à Oyo a, lui aussi, fait le même geste.
Né le 10 mars 1964, de Denis Sassou N’Guesso et de Claire Dira, Edith Lucie Bongo a été la première épouse d’un chef d’Etat qui a occupé la présidence de l’organisation des Premières Dames d’Afrique contre le Vih-sida. Elle avait un idéal, à savoir développer une médecine de pointe au cœur du continent africain. Sa fondation « Horizons Nouveaux » et sa clinique médicale El-Rapha à Libreville, ainsi que son usine de glucosés «Biocare », à Brazzaville s’inscrivent sans doute dans cette optique.
S’appuyant sur l’évangile de Saint Mathieu (chap. 5 : 38-47), l’Evêque du diocèse d’Owando, Monseigneur Victor Abagna Mossa a axé son homélie sur l’Amour et le partage, deux vertus incarnées par celle qui, durant son bref séjour sur terre, a marqué les esprits aussi bien au Congo qu’au-delà des frontières.
Selon l’officiant, le bonheur d’Edith Lucie Bongo Ondimba était dans la recherche du bien de l’autre : faire bien pour les autres, notamment pour les pauvres. Sa grandeur d’esprit, son amour pour le autres, son don du partage demeurent encore gravées dans la conscience collective 8 ans après sa disparition. L’Evêque d’Owando a invité les Congolais à essayer, dans la mesure de leurs moyens, de faire chaque jour un geste d’amour.
«Tu es un météore dont l’éclat demeure à jamais ». Ces mots de Denis Sassou N’Guesso, chargés d’émotion, accueillent tous ceux qui mettent pieds dans le cimetière familial d’Edou Kona kona, où repose en paix et pour l’éternité Edith Lucie Bongo Ondimba.
Son père, le président congolais Denis Sassou N’Guesso a respecté la tradition, en ce 8ème anniversaire de la disparition de celle qu’il affectionnait, en déposant une gerbe de fleur sur sa tombe. L’ancien président béninois, Yayi Boni, présent à Oyo a, lui aussi, fait le même geste.
Né le 10 mars 1964, de Denis Sassou N’Guesso et de Claire Dira, Edith Lucie Bongo a été la première épouse d’un chef d’Etat qui a occupé la présidence de l’organisation des Premières Dames d’Afrique contre le Vih-sida. Elle avait un idéal, à savoir développer une médecine de pointe au cœur du continent africain. Sa fondation « Horizons Nouveaux » et sa clinique médicale El-Rapha à Libreville, ainsi que son usine de glucosés «Biocare », à Brazzaville s’inscrivent sans doute dans cette optique.