Elysée Naïssem Doumtoïngar, Alwihda.
Une salle de classe au Tchad / Photo agence.
Une chose est claire à retenir, l’école par sa définition bien conçue constitue le temple du savoir où l’on se forge en paix et en sincérité. Notons que pas seulement le savoir mais aussi le savoir-faire et savoir-être des individus sinon les jeunes en particulier. C’est justement pour dire qu’elle contribue à former des hommes et femmes responsables et engagés pour la défense et la promotion des valeurs nobles de paix de civisme ainsi que d’éthique de leurs sociétés. Malheureusement aujourd’hui, force est de constater que l’école ne joue pas convenablement son rôle. Carelle est en crise de reforme et d’adaptation. La violence qui caractérise le monde actuel s’est installée également à l’école. Elle répond présente à tous les niveaux, de l’école primaire à l’université. Cette violence divise les professeurs entre eux, les professeurs et leurs élèves voire parfois avec les parents d’élèves. Tous communs les éducateurs, enseignants, parents et le gouvernement se préoccupent de cette violence. Chacun cherche des armes très efficaces afin de combattre sans merci ce phénomène surtout en milieu scolaire. Il est à reconnaitre que son ampleur et son impact sur le système éducatif tchadien inquiètent. A la question de savoir si la violence en milieu scolaire en augmentation ou en diminution plusieurs élèves interrogés quelques-uns d’entre eux ont répondu avoir été témoins d’actes de violence physique ou verbales dans leurs écoles. Des enseignants et personnel d’encadrement ont pour leur part confirmé la présence de la violence dans les établissements. Ce degré atteint par la violence en milieu scolaire nous interpelle tous.
Pour ce faire, le journal Alwihda Actualités a tendu son micro au représentant de l’Unicef Jean-Baptiste Ndikoumana qui émet son fort vœu de plaider et œuvrer pour le non violence dans les établissements scolaires tchadiens. Il sollicite d’impliquer activement les concernés surtout les élèves ambassadeurs dans cette lutte afin de bien sensibiliser leurs condisciples. Il serait nécessaire à cet effet d’inculquer l’esprit de paix à ces élèves dits ambassadeurs. Une fois selon le représentant de l’Unicef acquis de connaissances nécessaires, ces élèves ambassadeurs de la paix seront capables de prévenir et résoudre les conflits dans leurs établissements respectifs.
Alwihda Actualités n’a pas manqué de balader son micro au directeur général adjoint de l’enseignement et à la formation du Ministère de l’Education nationale, Bédoumra Béringar. Celui-ci s’est réjoui du micro qu’Alwihda lui tendu avant de dire que si on voit de près, on se rend compte qu’aujourd’hui la jeunesse pend sa responsabilité pour aller en guerre contre la violence dans nos établissements. Le responsable de l’enseignement et à la formation informe que le Comité d’Organisation pour la paix dans les Etablissements Scolaire (COPES), partenaire dynamique, motivé et déterminé à son ministère est déjà au pied du mur. Il souligne que ce partenaire se met résolument en première ligne de la croisade contre la violence en milieu scolaire. Bédoumra Béringar estime cette lutte qui vise à refaire de l’école un temple de paix de brassage de culture du peuple tchadien et de construction de la nation va aboutir.
Alwihda a aussi rencontré le responsable du COPES qui a rappelé l’acte constructif de l’Unesco en ces termes « les guerres prenant naissance dans l’esprit des Hommes, c’est dans l’esprit des hommes que doivent être élevées les défenses de la paix ». Pour lui, il saisit cette opportunité pour inculquer et élever avec courage ces défenses de la paix dans l’esprit des enfants dans des établissements.
Par Elysée Naissem
Pour ce faire, le journal Alwihda Actualités a tendu son micro au représentant de l’Unicef Jean-Baptiste Ndikoumana qui émet son fort vœu de plaider et œuvrer pour le non violence dans les établissements scolaires tchadiens. Il sollicite d’impliquer activement les concernés surtout les élèves ambassadeurs dans cette lutte afin de bien sensibiliser leurs condisciples. Il serait nécessaire à cet effet d’inculquer l’esprit de paix à ces élèves dits ambassadeurs. Une fois selon le représentant de l’Unicef acquis de connaissances nécessaires, ces élèves ambassadeurs de la paix seront capables de prévenir et résoudre les conflits dans leurs établissements respectifs.
Alwihda Actualités n’a pas manqué de balader son micro au directeur général adjoint de l’enseignement et à la formation du Ministère de l’Education nationale, Bédoumra Béringar. Celui-ci s’est réjoui du micro qu’Alwihda lui tendu avant de dire que si on voit de près, on se rend compte qu’aujourd’hui la jeunesse pend sa responsabilité pour aller en guerre contre la violence dans nos établissements. Le responsable de l’enseignement et à la formation informe que le Comité d’Organisation pour la paix dans les Etablissements Scolaire (COPES), partenaire dynamique, motivé et déterminé à son ministère est déjà au pied du mur. Il souligne que ce partenaire se met résolument en première ligne de la croisade contre la violence en milieu scolaire. Bédoumra Béringar estime cette lutte qui vise à refaire de l’école un temple de paix de brassage de culture du peuple tchadien et de construction de la nation va aboutir.
Alwihda a aussi rencontré le responsable du COPES qui a rappelé l’acte constructif de l’Unesco en ces termes « les guerres prenant naissance dans l’esprit des Hommes, c’est dans l’esprit des hommes que doivent être élevées les défenses de la paix ». Pour lui, il saisit cette opportunité pour inculquer et élever avec courage ces défenses de la paix dans l’esprit des enfants dans des établissements.
Par Elysée Naissem