La cathédrale de N’Djamena. Crédits photo : DR
Le Christ natif de Nazareth est envoyé par Dieu pour sauver tout le monde selon les saintes écritures. Sa mission n’est pas liée à son lieu de naissance, moins encore à ses parents. Alors si tel en est le cas, pourquoi certaine communautés réclament le paternalisme de son église?
« Car Dieu a tant aimé tant qu’il a envoyé son fils afin que quiconque croit en lui ne périsse point mais qu’il ait la vie éternelle », cette parole tirée du livre de l’évangéliste saint Jean, aussi claire que l’eau du rocher, n’autorise à quiconque de faire du Christ ou moins encore de son église sa propriété.
D’ailleurs, le chef de l’Eglise lui-même a dit que « mes frères et sœurs sont ceux qui écoutent ma parole et la mettent en pratique ». Alors pour quelle raison les uns pensent que pour la simple raison que les premiers missionnaires soient passés par leur localité leur donnerait l’exclusivité de présider les églises et non les autres ? Que ça soit les ouvriers de la première ou de la dernière heure, le Christ leur a remis le même salaire. Si cette boulimie atteignait les premiers missionnaires ou les apôtres d’Emmanuel, aurions nous des églises partout dans le monde ? Cette question doit permettre à chacun de revenir au pied de la croix où se trouvait Marie, la mère du Christ et Jean le disciple que Jésus aimait.
Chacun doit simplement se rappeler de la parole du Christ : femme, voici ton fils et fils voici ta mère. Cette parole très profonde qui fait de tous ceux qui croient en Christ ses disciples, rappelle qu’ils ont une même mère et sont des frères.
Comme le dit un adage de chez nous : « on ne connaît que le jour de la querelle des frères, mais pas le jour de leur réconciliation ». Les frères doivent simplement revenir à la même table, que leurs mains se suivent dans la calebasse sans passer par des moyens médiatiques utilisés au moment de la mal compréhension et de la dissension.
En ce mois où les chrétiens de tous les horizons se préparent à célébrer la mort et la résurrection du Christ, chacun doit mettre un peu d’eau dans son verre. Le pardon et la réconciliation seraient le plus beau cadeau que les frères en Christ peuvent s’offrir. Dans cette logique, le dépassement de certaines considérations inutiles est important. Car, le Christ n’a que pour frères et sœurs tous ceux qui font la volonté de celui qui l’a envoyé.
« Car Dieu a tant aimé tant qu’il a envoyé son fils afin que quiconque croit en lui ne périsse point mais qu’il ait la vie éternelle », cette parole tirée du livre de l’évangéliste saint Jean, aussi claire que l’eau du rocher, n’autorise à quiconque de faire du Christ ou moins encore de son église sa propriété.
D’ailleurs, le chef de l’Eglise lui-même a dit que « mes frères et sœurs sont ceux qui écoutent ma parole et la mettent en pratique ». Alors pour quelle raison les uns pensent que pour la simple raison que les premiers missionnaires soient passés par leur localité leur donnerait l’exclusivité de présider les églises et non les autres ? Que ça soit les ouvriers de la première ou de la dernière heure, le Christ leur a remis le même salaire. Si cette boulimie atteignait les premiers missionnaires ou les apôtres d’Emmanuel, aurions nous des églises partout dans le monde ? Cette question doit permettre à chacun de revenir au pied de la croix où se trouvait Marie, la mère du Christ et Jean le disciple que Jésus aimait.
Chacun doit simplement se rappeler de la parole du Christ : femme, voici ton fils et fils voici ta mère. Cette parole très profonde qui fait de tous ceux qui croient en Christ ses disciples, rappelle qu’ils ont une même mère et sont des frères.
Comme le dit un adage de chez nous : « on ne connaît que le jour de la querelle des frères, mais pas le jour de leur réconciliation ». Les frères doivent simplement revenir à la même table, que leurs mains se suivent dans la calebasse sans passer par des moyens médiatiques utilisés au moment de la mal compréhension et de la dissension.
En ce mois où les chrétiens de tous les horizons se préparent à célébrer la mort et la résurrection du Christ, chacun doit mettre un peu d’eau dans son verre. Le pardon et la réconciliation seraient le plus beau cadeau que les frères en Christ peuvent s’offrir. Dans cette logique, le dépassement de certaines considérations inutiles est important. Car, le Christ n’a que pour frères et sœurs tous ceux qui font la volonté de celui qui l’a envoyé.