Mlle Mispa Pierrette Bessala Fouda, 1ère dauphine de Miss intégration régionale.
C’est le 30 juillet dernier que la 14ème édition de la Foire Transfrontalière Annuelle d’Afrique centrale (FOTRAC) a fermé ses portes, après deux semaines d’intenses activités menées entre Kye-Ossi (Cameroun) et Ebibeyin (Guinée Equatoriale).
En effet, si les expositions-ventes organisées à cette occasion, dans les deux villes, ont pu drainé du beau monde, avec une forte présence des sociétés publiques, parapubliques et privées, il faut dire que l’élection de Miss intégration régionale aura été une séance à rebondissements, qui aura mis en compétition, plusieurs jeunes filles de la sous-région Afrique centrale.
Et à l’issue de la sélection, trois jeunes filles de Guinée Equatoriale, du Cameroun et du Tchad ont été primées : la Miss élue de cette 14ème édition du FOTRAC est une Equato-Guinéenne, Esther Antonia Esono Abaga, alors que la première dauphine est Camerounaise et s’appelle Mispa Pierrette Bessala Fouda. Mlle Nadjiatolde Kammadji Angela, originaire du Tchad, a quant à elle été sacrée deuxième dauphine.
« Je ressens une immense joie et je tiens à remercier Mme Danielle Nlate, la promotrice de cet événement pour son soutien à notre endroit, dès le début de cette compétition », déclare la ravissante Mispa Pierrette Bessala Fouda.
Le thème défendu par la jeune fille a un rapport avec le processus d'intégration régionale, avec un focus sur le développement socio-économique, et la lutte contre la pauvreté. Pour elle, il est question de sensibiliser les jeunes de son âge sur la nécessité d'entreprendre et de devenir autonomes, et dans le but d’éviter toutes formes de violences.
« Je voudrais aller dans le même sens des braves dames du REFAC (Réseau des Femmes Actives d'Afrique Centrale), qui ont donné l'occasion aux jeunes filles de s’exprimer, à travers cette élection de Miss intégration régionale, ambassadrice de paix qu'elles organisent depuis quelques années, en marge de la FOTRAC », poursuit-elle.
Sensibilisation des jeunes
Pour l’heure, Mispa Pierrette Bessala Fouda va poursuivre son engagement : procéder à la descente sur le terrain, en organisant des séminaires pour sensibiliser les jeunes. Cela dit, elle pense que grandir dans une société où la vie est chère, où le taux de chômage est élevé, n’est jamais facile.
Dès lors, elle milite pour une réduction du taux de chômage en organisant des ateliers de formation, comme celui portant sur la transformation des produits agro-alimentaires. Par ailleurs, elle reste « une jeune femme passionnée par la compréhension des enjeux sociaux et le renforcement des liens entre les communautés ».
Ayant grandi avec une passion pour l'engagement et l'ambition, et ayant développé des compétences en communication, en leadership et au travail d'équipe, le titre honorifique de 1ère dauphine de Miss intégration régionale, ambassadrice de Paix 2023, n’est donc qu’une juste récompense.
Ainsi, elle s’engage à promouvoir la paix et le vivre-ensemble. Sa formation en sciences sociales a ainsi élargi son regard sur les dynamiques sociétales, lui offrant par ailleurs des outils nécessaires pour analyser de manière critique, les problèmes auxquels le monde actuel est confronté. « Je suis déterminée à contribuer à des initiatives positives qui favorisent le dialogue interculturel, et la résolution pacifique des conflits », conclut-elle.
Il faut rappeler que la jeune femme de 20 ans, originaire du département de la Lekié (région du Centre), a souvent été hôtesse de salons et autres événements organisés dans son pays. Elle s’exprime aussi bien en français, anglais et espagnol. Des atouts indéniables pour s’envoler vers des horizons porteurs d’espoir pour son pays.
En effet, si les expositions-ventes organisées à cette occasion, dans les deux villes, ont pu drainé du beau monde, avec une forte présence des sociétés publiques, parapubliques et privées, il faut dire que l’élection de Miss intégration régionale aura été une séance à rebondissements, qui aura mis en compétition, plusieurs jeunes filles de la sous-région Afrique centrale.
Et à l’issue de la sélection, trois jeunes filles de Guinée Equatoriale, du Cameroun et du Tchad ont été primées : la Miss élue de cette 14ème édition du FOTRAC est une Equato-Guinéenne, Esther Antonia Esono Abaga, alors que la première dauphine est Camerounaise et s’appelle Mispa Pierrette Bessala Fouda. Mlle Nadjiatolde Kammadji Angela, originaire du Tchad, a quant à elle été sacrée deuxième dauphine.
« Je ressens une immense joie et je tiens à remercier Mme Danielle Nlate, la promotrice de cet événement pour son soutien à notre endroit, dès le début de cette compétition », déclare la ravissante Mispa Pierrette Bessala Fouda.
Le thème défendu par la jeune fille a un rapport avec le processus d'intégration régionale, avec un focus sur le développement socio-économique, et la lutte contre la pauvreté. Pour elle, il est question de sensibiliser les jeunes de son âge sur la nécessité d'entreprendre et de devenir autonomes, et dans le but d’éviter toutes formes de violences.
« Je voudrais aller dans le même sens des braves dames du REFAC (Réseau des Femmes Actives d'Afrique Centrale), qui ont donné l'occasion aux jeunes filles de s’exprimer, à travers cette élection de Miss intégration régionale, ambassadrice de paix qu'elles organisent depuis quelques années, en marge de la FOTRAC », poursuit-elle.
Sensibilisation des jeunes
Pour l’heure, Mispa Pierrette Bessala Fouda va poursuivre son engagement : procéder à la descente sur le terrain, en organisant des séminaires pour sensibiliser les jeunes. Cela dit, elle pense que grandir dans une société où la vie est chère, où le taux de chômage est élevé, n’est jamais facile.
Dès lors, elle milite pour une réduction du taux de chômage en organisant des ateliers de formation, comme celui portant sur la transformation des produits agro-alimentaires. Par ailleurs, elle reste « une jeune femme passionnée par la compréhension des enjeux sociaux et le renforcement des liens entre les communautés ».
Ayant grandi avec une passion pour l'engagement et l'ambition, et ayant développé des compétences en communication, en leadership et au travail d'équipe, le titre honorifique de 1ère dauphine de Miss intégration régionale, ambassadrice de Paix 2023, n’est donc qu’une juste récompense.
Ainsi, elle s’engage à promouvoir la paix et le vivre-ensemble. Sa formation en sciences sociales a ainsi élargi son regard sur les dynamiques sociétales, lui offrant par ailleurs des outils nécessaires pour analyser de manière critique, les problèmes auxquels le monde actuel est confronté. « Je suis déterminée à contribuer à des initiatives positives qui favorisent le dialogue interculturel, et la résolution pacifique des conflits », conclut-elle.
Il faut rappeler que la jeune femme de 20 ans, originaire du département de la Lekié (région du Centre), a souvent été hôtesse de salons et autres événements organisés dans son pays. Elle s’exprime aussi bien en français, anglais et espagnol. Des atouts indéniables pour s’envoler vers des horizons porteurs d’espoir pour son pays.
Les dynamiques femmes du REFAC entourent les lauréates.