Parmi les 14 clubs de la Ligue provinciale de football de N'Djaména (LPFN), seuls quelques-uns suscitent l'intérêt des amateurs de football. On peut citer As-Psi, une équipe très jeune, Elect Sport avec des joueurs expérimentés, Foullah Edice, une équipe bien organisée et bien équipée, ainsi que Aiglons FC, Gazelle FC et RFC, pour n'en nommer que quelques-uns.
Bien que de nombreux joueurs ne souhaitent pas s'exprimer sur ce sujet, il est évident que le football tchadien, notamment la Ligue provinciale de N'Djaména, ne progresse pas. Alhadj, ancien joueur d'As-Samba, souligne que "ce qui a toujours renforcé le niveau du championnat de N'Djamena, c'est le soutien au football inter-quartiers. Beaucoup de jeunes jouent non pas pour l'argent, mais pour l'honneur. Aujourd'hui, on ne parle pas de sport dans certains quartiers".
Il n'est donc pas surprenant de constater que ce championnat présente un niveau de jeu très faible. Le football moderne est devenu une véritable école, nécessitant des moyens financiers et des infrastructures adéquates. Malheureusement, la plupart des clubs ne disposent ni de centres de formation ni d'installations appropriées pour les entraînements. Comment peut-on prétendre jouer en première division sans une bonne maîtrise du ballon, sans une condition physique optimale, sans une bonne compréhension du placement sur le terrain ?
Cette situation empêche les clubs tchadiens de rivaliser avec leurs adversaires lors des compétitions internationales. De plus, il est difficile pour certains joueurs de progresser et de jouer à l'étranger. Même si certains observateurs estiment que le manque d'une bonne sélection est responsable de l'incapacité de l'équipe nationale tchadienne à se qualifier pour la Coupe d'Afrique des Nations ou la Coupe du Monde, le niveau médiocre du championnat en est l'une des causes.
Pourtant, selon le jargon footballistique, "il n'y a pas de petit pays pour le foot". Cependant, le Tchad reste un petit pays dans ce domaine sportif. En effet, certains pays africains, tels que le Cameroun, le Nigeria, l'Égypte, la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Maroc et la Tunisie, sont reconnus comme des pourvoyeurs de joueurs et occupent des positions élevées dans le classement de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA). Il est temps que les responsables du football au Tchad prennent conscience de cela, car il est impossible d'atteindre le sommet sans améliorer le niveau de jeu. Le football moderne nécessite des investissements.
Bien que de nombreux joueurs ne souhaitent pas s'exprimer sur ce sujet, il est évident que le football tchadien, notamment la Ligue provinciale de N'Djaména, ne progresse pas. Alhadj, ancien joueur d'As-Samba, souligne que "ce qui a toujours renforcé le niveau du championnat de N'Djamena, c'est le soutien au football inter-quartiers. Beaucoup de jeunes jouent non pas pour l'argent, mais pour l'honneur. Aujourd'hui, on ne parle pas de sport dans certains quartiers".
Il n'est donc pas surprenant de constater que ce championnat présente un niveau de jeu très faible. Le football moderne est devenu une véritable école, nécessitant des moyens financiers et des infrastructures adéquates. Malheureusement, la plupart des clubs ne disposent ni de centres de formation ni d'installations appropriées pour les entraînements. Comment peut-on prétendre jouer en première division sans une bonne maîtrise du ballon, sans une condition physique optimale, sans une bonne compréhension du placement sur le terrain ?
Cette situation empêche les clubs tchadiens de rivaliser avec leurs adversaires lors des compétitions internationales. De plus, il est difficile pour certains joueurs de progresser et de jouer à l'étranger. Même si certains observateurs estiment que le manque d'une bonne sélection est responsable de l'incapacité de l'équipe nationale tchadienne à se qualifier pour la Coupe d'Afrique des Nations ou la Coupe du Monde, le niveau médiocre du championnat en est l'une des causes.
Pourtant, selon le jargon footballistique, "il n'y a pas de petit pays pour le foot". Cependant, le Tchad reste un petit pays dans ce domaine sportif. En effet, certains pays africains, tels que le Cameroun, le Nigeria, l'Égypte, la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Maroc et la Tunisie, sont reconnus comme des pourvoyeurs de joueurs et occupent des positions élevées dans le classement de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA). Il est temps que les responsables du football au Tchad prennent conscience de cela, car il est impossible d'atteindre le sommet sans améliorer le niveau de jeu. Le football moderne nécessite des investissements.