Environ 54 délégations gouvernementales africaines, représentées au plus haut niveau, dont celle de la République du Congo, conduite par le chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso ont assisté à la cérémonie d’ouverture qui a, également, connu la participation du secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, ainsi que de l'Union Africaine et 26 organisations africaines.
L’initiative du président chinois, Xi Jinping baptisée « la ceinture et la route » est au centre des débats au cours de ce sommet. Ainsi, dès l’ouverture des travaux, devant plus d’une dizaine des chefs d'État africains, le président chinois a fait le tour d'horizon de la coopération entre son pays et le continent noir, à travers les projets de développement réalisés par son pays en Afrique, depuis le dernier sommet de Johannesburg, en Afrique du Sud, en 2015.
Au terme de ce point, le dirigeant chinois a annoncé de nouveaux engagements de la Chine en faveur du continent. En effet, la Chine, a-t-il déclaré va débloquer une enveloppe de 60 milliards de dollars pour le développement du continent africain. Le chef de l’Etat chinois n’a pas manqué de saluer l’adhésion de trois nouveaux Etats africains au forum, en l’occurrence la Gambie, le Sao Tomé et Principe et le Burkina Faso.
L’Afrique que Xi Jinping a qualifié de terre généreuse, d’amitié, de richesses et de dynamisme, est un continent dans lequel le peuple aspire à un meilleur avenir, selon le chef de l’Etat chinois. Pour lui, l’aide de 60 milliards de dollars qu’il a annoncé au profit de des projets de développement sur le continent est en relation avec le principe du développement partagé. Il s’agit selon Xi Jinping de donner plus et sans prendre. « Nous accueillons l’Afrique à bras ouvert et personne ne pourra entraver la marche de l’Afrique vers développement », a déclaré le président chinois, qui a rappelé huit principes de la coopération entre son pays et l’Afrique, en relation avec l’initiative de la ceinture et la route qui intègre l’Agenda 2063 de l’Union Africaine.
Annulation totale de la dette
La coopération sino-africaine doit apporter aux peuples des résultats tangibles à travers la création d’emplois, a martelé le président Xi Jinping qui a également mis la jeunesse au cœur de son propos, avant de souligner plusieurs mesures prises en faveur de cette couche en devenir. Le dirigeant chinois a , en outre , annoncé l’annulation totale de la dette non remboursée des pays africains liée aux prêts globaux sans intérêts arrivés à échéance en fin 2018.
Quatre autres intervenants se sont succédés à la tribune du forum pour saluer le partenariat stratégique mutuellement bénéfique pour les pays africains et la Chine. Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, co-président du Forum, le rwandais Paul Kagamé, président en exercice de l’Union Africaine, Antonio Guterres, Secrétaire général de l’ONU, invité spécial du Forum et Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’Union Africaine ont, tous, salué ces assises qui renvoient à un passé glorieux et annoncent, selon eux, un monde radieux.
La fin de ces assises est prévue pour ce mardi 4 septembre 2018. Ce forum est un multilatéralisme conduisant à l’émergence d’un ordre mondial plus équitable et plus juste, épousant les idéaux des Nations unies et de l’Agenda 2063 de l’UA. Le but étant la gestion du destin de l’Afrique par elle-même.
L’initiative du président chinois, Xi Jinping baptisée « la ceinture et la route » est au centre des débats au cours de ce sommet. Ainsi, dès l’ouverture des travaux, devant plus d’une dizaine des chefs d'État africains, le président chinois a fait le tour d'horizon de la coopération entre son pays et le continent noir, à travers les projets de développement réalisés par son pays en Afrique, depuis le dernier sommet de Johannesburg, en Afrique du Sud, en 2015.
Au terme de ce point, le dirigeant chinois a annoncé de nouveaux engagements de la Chine en faveur du continent. En effet, la Chine, a-t-il déclaré va débloquer une enveloppe de 60 milliards de dollars pour le développement du continent africain. Le chef de l’Etat chinois n’a pas manqué de saluer l’adhésion de trois nouveaux Etats africains au forum, en l’occurrence la Gambie, le Sao Tomé et Principe et le Burkina Faso.
L’Afrique que Xi Jinping a qualifié de terre généreuse, d’amitié, de richesses et de dynamisme, est un continent dans lequel le peuple aspire à un meilleur avenir, selon le chef de l’Etat chinois. Pour lui, l’aide de 60 milliards de dollars qu’il a annoncé au profit de des projets de développement sur le continent est en relation avec le principe du développement partagé. Il s’agit selon Xi Jinping de donner plus et sans prendre. « Nous accueillons l’Afrique à bras ouvert et personne ne pourra entraver la marche de l’Afrique vers développement », a déclaré le président chinois, qui a rappelé huit principes de la coopération entre son pays et l’Afrique, en relation avec l’initiative de la ceinture et la route qui intègre l’Agenda 2063 de l’Union Africaine.
Annulation totale de la dette
La coopération sino-africaine doit apporter aux peuples des résultats tangibles à travers la création d’emplois, a martelé le président Xi Jinping qui a également mis la jeunesse au cœur de son propos, avant de souligner plusieurs mesures prises en faveur de cette couche en devenir. Le dirigeant chinois a , en outre , annoncé l’annulation totale de la dette non remboursée des pays africains liée aux prêts globaux sans intérêts arrivés à échéance en fin 2018.
Quatre autres intervenants se sont succédés à la tribune du forum pour saluer le partenariat stratégique mutuellement bénéfique pour les pays africains et la Chine. Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, co-président du Forum, le rwandais Paul Kagamé, président en exercice de l’Union Africaine, Antonio Guterres, Secrétaire général de l’ONU, invité spécial du Forum et Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’Union Africaine ont, tous, salué ces assises qui renvoient à un passé glorieux et annoncent, selon eux, un monde radieux.
La fin de ces assises est prévue pour ce mardi 4 septembre 2018. Ce forum est un multilatéralisme conduisant à l’émergence d’un ordre mondial plus équitable et plus juste, épousant les idéaux des Nations unies et de l’Agenda 2063 de l’UA. Le but étant la gestion du destin de l’Afrique par elle-même.