Lors des examens de décembre en première année de la faculté de médecine de Nantes, en 2016. Photo Franck Dubray. Ouest France. MAXPPP
Le Centre d'Etudes pour le Développement et la Prévention de l'Extrémisme (CEDPE) a exprimé son regret de la décision française qui consiste à augmenter les frais d'inscription pour les étudiants étrangers extracommunautaires à la rentrée 2019-2020, selon un communiqué de son président, Dr. Ahmat Yacoub Dabio.
"Cette mesure discriminatoire donnera l'impression aux étudiants étrangers que la ségrégation idéologique s'installe désormais dans l'espace intellectuel français. C'est une victoires aux idéologies racistes et une conséquence désastreuse pour les universités et les laboratoires français", relève le CEDPE.
D'après le Centre d'études, "cela aura pour conséquence le découragement de la grande partie des étudiants étrangers qui pensent venir étudier en France, et la victoire de ceux qui, en Afrique francophone appellent à l'instauration de l'Anglais au détriment de la langue de Molière".
Le CEDPE prédit, à travers cette mesure, le déclin de la langue française au profit d'autres langues. Il précise que certains établissements universitaires dans certains pays comme la Russie, la Turquie, Cuba appliquent depuis quelques années une politique d'ouverture aux étudiants africains. "La hausse des frais d'inscription de 380 à 3 770 euros sera insupportable surtout pour les futurs thésards étrangers dont 32% viennent d'Afrique (22 949 doctorants étrangers en 2017, nombre en baisse de 7,5% par rapport à 2013)", explique le CEDPE.
Le CEDPE attire l'attention que le déficit d'une communication justifiant cette mesure sera exploitée par les fondamentalistes qui ne se privent pas de manipuler certaines victimes de cette mesure discriminatoire.
"Cette mesure discriminatoire donnera l'impression aux étudiants étrangers que la ségrégation idéologique s'installe désormais dans l'espace intellectuel français. C'est une victoires aux idéologies racistes et une conséquence désastreuse pour les universités et les laboratoires français", relève le CEDPE.
D'après le Centre d'études, "cela aura pour conséquence le découragement de la grande partie des étudiants étrangers qui pensent venir étudier en France, et la victoire de ceux qui, en Afrique francophone appellent à l'instauration de l'Anglais au détriment de la langue de Molière".
Le CEDPE prédit, à travers cette mesure, le déclin de la langue française au profit d'autres langues. Il précise que certains établissements universitaires dans certains pays comme la Russie, la Turquie, Cuba appliquent depuis quelques années une politique d'ouverture aux étudiants africains. "La hausse des frais d'inscription de 380 à 3 770 euros sera insupportable surtout pour les futurs thésards étrangers dont 32% viennent d'Afrique (22 949 doctorants étrangers en 2017, nombre en baisse de 7,5% par rapport à 2013)", explique le CEDPE.
Le CEDPE attire l'attention que le déficit d'une communication justifiant cette mesure sera exploitée par les fondamentalistes qui ne se privent pas de manipuler certaines victimes de cette mesure discriminatoire.