Plus de 50 000 signatures françaises ont été enregistrés contre la privatisation du Roi Saoudien d'une plage française, conviant à son compte une délégation de plus d'un millier de notables pour ses vacances.
Certains rangs politiques profiteraient de cette occasion pour instrumentaliser ce "scoop", alors que beaucoup oublieraient que la France a bénéficié d'un "juteux" contrat en vendant plusieurs rafales au Royaume saoudien.
Faut-il alors en ce sens contester la privatisation par le Roi du Royaume d'un "fragment" du littoral français pour assurer sa propre sécurité pour une durée éphémère de quelques jours et provoquer des sensibilités diplomatiques ou faut-il laisser le monarque régner sur ce bout de territoire pour une grosse poignée d'heures en reconnaissance aux contrats bilatéraux qui ont été signés dans un but lié non uniquement au réarmement du garage militaire du Royaume mais aussi dans la ferme intention d'utiliser les avions étoilés de Dassault sur le front face aux terroristes de Daesh et les rebelles yéménites.
Une intention qui serait tout aussi poursuivit par la France.
Il y aurait donc selon certains français peut-être peu ou trop raisonnables un certain manque d'élégance, et de bon sens de la part de ceux qui s'insurgeraient contre la venue du Malick.
Politiquement cela peut s'identifier comme nauséabond et effleuré l'hospitalité française qui est d'une grande renommée.
Certains rangs politiques profiteraient de cette occasion pour instrumentaliser ce "scoop", alors que beaucoup oublieraient que la France a bénéficié d'un "juteux" contrat en vendant plusieurs rafales au Royaume saoudien.
Faut-il alors en ce sens contester la privatisation par le Roi du Royaume d'un "fragment" du littoral français pour assurer sa propre sécurité pour une durée éphémère de quelques jours et provoquer des sensibilités diplomatiques ou faut-il laisser le monarque régner sur ce bout de territoire pour une grosse poignée d'heures en reconnaissance aux contrats bilatéraux qui ont été signés dans un but lié non uniquement au réarmement du garage militaire du Royaume mais aussi dans la ferme intention d'utiliser les avions étoilés de Dassault sur le front face aux terroristes de Daesh et les rebelles yéménites.
Une intention qui serait tout aussi poursuivit par la France.
Il y aurait donc selon certains français peut-être peu ou trop raisonnables un certain manque d'élégance, et de bon sens de la part de ceux qui s'insurgeraient contre la venue du Malick.
Politiquement cela peut s'identifier comme nauséabond et effleuré l'hospitalité française qui est d'une grande renommée.