Alors que le climat politique est marqué au Gabon par les tractations en vue de la prochaine élection présidentielle, avec des prises de positions publiques et des descentes sur le terrain par les candidats déclarés, des élections partielles se tiendront en vue de pourvoir à certains sièges de députés et de celui d’un sénateur.
En effet, c’est la date du 18 juin 2016 qui a été arrêtée pour cette consultation électorale, pour remplacer les députés démissionnaires, proches du Rassemblement Héritage et Modernité, alors qu’un siège de sénateur est également vacant à Makokou (Nord est du pays). A cet effet, 35 candidatures ont été enregistrées pour un total de 15 sièges vacants. Le Président de la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap) a reçu la semaine dernière, des mains du ministre de l’Intérieur, de la Décentralisation, de la Sécurité et de l’Hygiène publiques, Pacôme Moubelet Boubeya, les listes électorales.
Dispositions disciplinaires
Pour ce scrutin, sont concernés 65 022 électeurs répartis dans 295 bureaux de vote. On se rappelle que neuf députés du Parti démocratique gabonais (PDG), ancien parti unique, au pouvoir depuis 48 ans avaient démissionné le 1er avril dernier. L’annonce de leur démission a été faite au cours d’un point de presse à la suite de l’exclusion le 9 mars 2016, de trois de leurs collègues membres du Rassemblement Héritage et Modernité.
Les démissionnaires affirmaient être outrés par « le caractère arbitraire de la décision d’exclusion prise en violation flagrante des dispositions disciplinaires des statuts du PDG». Le trois exclus étaient : Michel Menga Messone, Hugues Alexandre Barro Chambrier (le leader du mouvement) et Jonathan Ignoumba. Quant aux neuf démissionnaires, ils sont issus des circonscriptions de plusieurs régions du Gabon: Vincent Ella Menie, Philippe Nzengue Mayila, Senturel Ngoma Madoungou, Vincent de Paul Gondjout, Christian Clôtaire Ivala, Michel Mboumi, Sylvain Momoadjambo, Maxime Ondimba et Edgard Owono Ndong.
Pour sa part, Guy Nzouba Ndama a démissionné de son poste de président de l’Assemblée nationale et se présente aujourd’hui comme un futur challenger du président Ali Bongo pour la prochaine élection présidentielle.
En effet, c’est la date du 18 juin 2016 qui a été arrêtée pour cette consultation électorale, pour remplacer les députés démissionnaires, proches du Rassemblement Héritage et Modernité, alors qu’un siège de sénateur est également vacant à Makokou (Nord est du pays). A cet effet, 35 candidatures ont été enregistrées pour un total de 15 sièges vacants. Le Président de la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap) a reçu la semaine dernière, des mains du ministre de l’Intérieur, de la Décentralisation, de la Sécurité et de l’Hygiène publiques, Pacôme Moubelet Boubeya, les listes électorales.
Dispositions disciplinaires
Pour ce scrutin, sont concernés 65 022 électeurs répartis dans 295 bureaux de vote. On se rappelle que neuf députés du Parti démocratique gabonais (PDG), ancien parti unique, au pouvoir depuis 48 ans avaient démissionné le 1er avril dernier. L’annonce de leur démission a été faite au cours d’un point de presse à la suite de l’exclusion le 9 mars 2016, de trois de leurs collègues membres du Rassemblement Héritage et Modernité.
Les démissionnaires affirmaient être outrés par « le caractère arbitraire de la décision d’exclusion prise en violation flagrante des dispositions disciplinaires des statuts du PDG». Le trois exclus étaient : Michel Menga Messone, Hugues Alexandre Barro Chambrier (le leader du mouvement) et Jonathan Ignoumba. Quant aux neuf démissionnaires, ils sont issus des circonscriptions de plusieurs régions du Gabon: Vincent Ella Menie, Philippe Nzengue Mayila, Senturel Ngoma Madoungou, Vincent de Paul Gondjout, Christian Clôtaire Ivala, Michel Mboumi, Sylvain Momoadjambo, Maxime Ondimba et Edgard Owono Ndong.
Pour sa part, Guy Nzouba Ndama a démissionné de son poste de président de l’Assemblée nationale et se présente aujourd’hui comme un futur challenger du président Ali Bongo pour la prochaine élection présidentielle.