Faustin Boukoubi, le Sg du PDG est sur les charbons ardents.
Selon une source installée à Libreville, le climat politique serait devenu délétère au sein du Pari démocratique gabonais (PDG), formation politique du président Ali Bongo Ondimba. « Ça chaufferait grave dans le PDG! », dit-on là-bas en ce moment.
En effet, la Direction générale de la recherche (DGR, services de renseignements gabonais) est à la recherche de Faustin Boukoubi, le secrétaire général du parti au pouvoir. « Il s’agit de le ramener directement et manu militari, pour une interrogation musclé », rappelle notre source. Il semblerait qu'il se soit réfugié chez Guy Nzouba Ndama, le président de l’Assemblée nationale du Gabon, alors que le Congrès du PDG est prévue pour ce 12 mars à Libreville. Et tout porte à croire que des négociations vont bon train afin que le Sg du parti soit présent ce samedi à l'ouverture du congrès du parti présidentiel.
Par ailleurs, le président français François Hollande via l'ambassade de France à Libreville, a déjà été informé de la radicalisation et de l'élimination physique de certains citoyens. Certains observateurs politiques pensent que la DGR chercherait à récupérer le double du fichier électoral afin de mieux « tricher en 2016 ».
La France aurait réagi directement par son ministre de la Défense auprès du président Ali Bongo Ondimba; le message de François Hollande est claire: "aucune élimination politique quelque soit la raison ne sera tolérée, ni acceptée. La France se réserve toutes actions pour éviter le chaos et protéger ses ressortissants ».
En effet, la Direction générale de la recherche (DGR, services de renseignements gabonais) est à la recherche de Faustin Boukoubi, le secrétaire général du parti au pouvoir. « Il s’agit de le ramener directement et manu militari, pour une interrogation musclé », rappelle notre source. Il semblerait qu'il se soit réfugié chez Guy Nzouba Ndama, le président de l’Assemblée nationale du Gabon, alors que le Congrès du PDG est prévue pour ce 12 mars à Libreville. Et tout porte à croire que des négociations vont bon train afin que le Sg du parti soit présent ce samedi à l'ouverture du congrès du parti présidentiel.
Par ailleurs, le président français François Hollande via l'ambassade de France à Libreville, a déjà été informé de la radicalisation et de l'élimination physique de certains citoyens. Certains observateurs politiques pensent que la DGR chercherait à récupérer le double du fichier électoral afin de mieux « tricher en 2016 ».
La France aurait réagi directement par son ministre de la Défense auprès du président Ali Bongo Ondimba; le message de François Hollande est claire: "aucune élimination politique quelque soit la raison ne sera tolérée, ni acceptée. La France se réserve toutes actions pour éviter le chaos et protéger ses ressortissants ».