Des experts du comité des Nations Unies contre la torture se sont penchés durant deux jours sur le rapport 2013-2019 du Tchad ainsi que sur les évènements meurtriers du 20 octobre 2022.
"Nous vous avions annoncé une délégation qui devrait se joindre à nous mais en raison de l'annulation du vol Air France qui partait de N'Djamena la nuit dernière pour rejoindre Paris via Abuja, il se trouve que notre délégation était dans l'impossibilité de trouver un autre vol qui puisse les amener à Genève (...) Toutes nos autres tentatives ont été vaines. Le plus proche vol qui pourrait les amener à Genève ne sera pas avant cet après-midi (du 2 novembre, Ndlr)", a déclaré l'ambassadeur Ahmad Makaïla.
"Mon pays a décidé de présenter le rapport avec l'ensemble des éléments de réponse qui nous ont été fournis par la délégation qui devait se joindre à nous", a ajouté le représentant permanent du Tchad à Genève.
Cette annonce jugée "tardive" a déplu au comité. Pr. Touzé, membre du comité, a estimé qu'une visioconférence aurait pu être mise en place.
L'ambassadeur Ahmad Makaïla et ses collègues ont répondu aux nombreuses questions et préoccupations soulevées par les rapporteurs et membres du Comité des Nations Unies contre la torture.
"Nous vous avions annoncé une délégation qui devrait se joindre à nous mais en raison de l'annulation du vol Air France qui partait de N'Djamena la nuit dernière pour rejoindre Paris via Abuja, il se trouve que notre délégation était dans l'impossibilité de trouver un autre vol qui puisse les amener à Genève (...) Toutes nos autres tentatives ont été vaines. Le plus proche vol qui pourrait les amener à Genève ne sera pas avant cet après-midi (du 2 novembre, Ndlr)", a déclaré l'ambassadeur Ahmad Makaïla.
"Mon pays a décidé de présenter le rapport avec l'ensemble des éléments de réponse qui nous ont été fournis par la délégation qui devait se joindre à nous", a ajouté le représentant permanent du Tchad à Genève.
Cette annonce jugée "tardive" a déplu au comité. Pr. Touzé, membre du comité, a estimé qu'une visioconférence aurait pu être mise en place.
L'ambassadeur Ahmad Makaïla et ses collègues ont répondu aux nombreuses questions et préoccupations soulevées par les rapporteurs et membres du Comité des Nations Unies contre la torture.