Dans sa déclaration, la secrétaire d'État à la Santé, Bourkou Louis, a souligné que malgré les ravages provoqués, les différentes hépatites sont en grande partie méconnues, souvent non diagnostiquées et non traitées.
Il est crucial de rappeler que plus de 2 milliards de personnes sont infectées par l'hépatite B et 150 millions de personnes sont porteuses d'une infection chronique par l'hépatite C. Face à cette situation, de nombreuses actions ont été réalisées pour sensibiliser la population, mais les défis à relever restent importants.
Au Tchad, la prévalence actuelle du virus de l'hépatite B chez les adultes est de 19 % et chez les enfants, elle est autour de 22 %.
Pour faire face à cette situation, le Gouvernement de la République du Tchad, sous la clairvoyance du Président de la République, a déjà pris certaines dispositions, notamment l'introduction de la vaccination contre l'hépatite B pour tous les nouveau-nés dans le cadre du programme élargi de vaccination depuis juin 2008.
Avec l'appui de ses partenaires, le Fonds Mondial, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Gouvernement Égyptien, le pays a fourni de nombreux efforts dans la lutte contre les hépatites, notamment par la formation intégrée des prestataires de soins, le dépistage des hépatites B et C dans les différents sites de prise en charge et la référence des cas compliqués vers des sites spécialisés.
L'objectif est de souligner l'urgence d'agir pour atteindre les objectifs mondiaux d'élimination de l'hépatite virale d'ici 2030.
Les défis actuels restent la prévention, y compris la vaccination à la naissance, le dépistage, l'épidémiologie, l'accès au traitement et la mobilisation des ressources. Ces innombrables défis exigent la contribution de tous, et des efforts visant à accroître la participation de tous les partenaires, y compris celle des communautés, pour intensifier les activités de lutte contre les hépatites.
Elle lance un appel aux responsables sanitaires pour qu'ils respectent les orientations relatives à la mise à disposition des formations sanitaires, des intrants nécessaires pour le dépistage et pour élargir la couverture vaccinale afin que tous les enfants soient vaccinés contre l'hépatite B. Elle exhorte également les partenaires, le secteur public et privé, à mobiliser les ressources nécessaires pour appuyer la lutte contre les hépatites. Enfin, elle appelle les organisations non gouvernementales et les organisations à base communautaire à intensifier la sensibilisation pour faire vacciner tous les nouveau-nés.
Il est crucial de rappeler que plus de 2 milliards de personnes sont infectées par l'hépatite B et 150 millions de personnes sont porteuses d'une infection chronique par l'hépatite C. Face à cette situation, de nombreuses actions ont été réalisées pour sensibiliser la population, mais les défis à relever restent importants.
Au Tchad, la prévalence actuelle du virus de l'hépatite B chez les adultes est de 19 % et chez les enfants, elle est autour de 22 %.
Pour faire face à cette situation, le Gouvernement de la République du Tchad, sous la clairvoyance du Président de la République, a déjà pris certaines dispositions, notamment l'introduction de la vaccination contre l'hépatite B pour tous les nouveau-nés dans le cadre du programme élargi de vaccination depuis juin 2008.
Avec l'appui de ses partenaires, le Fonds Mondial, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Gouvernement Égyptien, le pays a fourni de nombreux efforts dans la lutte contre les hépatites, notamment par la formation intégrée des prestataires de soins, le dépistage des hépatites B et C dans les différents sites de prise en charge et la référence des cas compliqués vers des sites spécialisés.
L'objectif est de souligner l'urgence d'agir pour atteindre les objectifs mondiaux d'élimination de l'hépatite virale d'ici 2030.
Les défis actuels restent la prévention, y compris la vaccination à la naissance, le dépistage, l'épidémiologie, l'accès au traitement et la mobilisation des ressources. Ces innombrables défis exigent la contribution de tous, et des efforts visant à accroître la participation de tous les partenaires, y compris celle des communautés, pour intensifier les activités de lutte contre les hépatites.
Elle lance un appel aux responsables sanitaires pour qu'ils respectent les orientations relatives à la mise à disposition des formations sanitaires, des intrants nécessaires pour le dépistage et pour élargir la couverture vaccinale afin que tous les enfants soient vaccinés contre l'hépatite B. Elle exhorte également les partenaires, le secteur public et privé, à mobiliser les ressources nécessaires pour appuyer la lutte contre les hépatites. Enfin, elle appelle les organisations non gouvernementales et les organisations à base communautaire à intensifier la sensibilisation pour faire vacciner tous les nouveau-nés.