La mort de la militante de la lutte contre l’apartheid, ancienne épouse de Nelson Mandela (premier président noir de la nation arc-en-ciel) a plongé toute l’Afrique dans l’émoi. Tous amis de l’ANC ont pleuré et pleurent encore celle qui a, par sa fidélité à la cause qu’il défendait avec son époux, Nelson Mandela emprisonné, a été considérée comme une femme modèle dans la lutte de libération des peuples.
Parmi ces Africains affectés par la disparition d’une icône de cette lutte, figure le président congolais qui a pris une part active, notamment à la lutte contre l’apartheid. Le président congolais a, en effet, joué un rôle majeur dans l’éradication du système d’apartheid en Afrique du Sud, surtout quand il a présidé aux destinées de l’organisation de l’Union africaine (ONA) en 1986.
En rendant hommage à Winnie Mandela, le chef de l’Etat congolais rend en même temps, la gratitude à celle avait associé sa voix à celle du peuple congolais, apportant par ricochet son soutien au Président de la République, son ami de lutte, alors que le peuple congolais s’apprêtait à décider de l’avenir du pays, à travers le référendum constitutionnel. C’est dire combien au-delà de leur combat commun pour la liberté, Denis Sassou N’Guesso et Winnie Mandela avaient eu des relations très chaleureuses.
Née le 26 septembre 1936, Winnie Mandela a occupé en 1994 le poste de vice-ministre de la culture, dans le premier gouvernement postapartheid. Depuis 1965, elle a été reconnue comme la première assistante sociale noire dans un hôpital de Soweto, le township noir de Johannesburg.
Parmi ces Africains affectés par la disparition d’une icône de cette lutte, figure le président congolais qui a pris une part active, notamment à la lutte contre l’apartheid. Le président congolais a, en effet, joué un rôle majeur dans l’éradication du système d’apartheid en Afrique du Sud, surtout quand il a présidé aux destinées de l’organisation de l’Union africaine (ONA) en 1986.
En rendant hommage à Winnie Mandela, le chef de l’Etat congolais rend en même temps, la gratitude à celle avait associé sa voix à celle du peuple congolais, apportant par ricochet son soutien au Président de la République, son ami de lutte, alors que le peuple congolais s’apprêtait à décider de l’avenir du pays, à travers le référendum constitutionnel. C’est dire combien au-delà de leur combat commun pour la liberté, Denis Sassou N’Guesso et Winnie Mandela avaient eu des relations très chaleureuses.
Née le 26 septembre 1936, Winnie Mandela a occupé en 1994 le poste de vice-ministre de la culture, dans le premier gouvernement postapartheid. Depuis 1965, elle a été reconnue comme la première assistante sociale noire dans un hôpital de Soweto, le township noir de Johannesburg.