La Côte d’Ivoire occupe la 132e place de l’index de la liberté économique 2018, sur 162 pays étudiés par l’Institut Fraser. C’est le classement dévoilé par le directeur de l’Institut Fraser, Fred McMahon, au cours du forum de la liberté économique, initié par Audace Institut Afrique. C’était le 29 janvier 2019, à la Chambre de commerce et d’industrie d’Abidjan-Plateau.
Au regard de ce rang, l’économiste-chercheur, Dr Kramo Germain a indiqué que le score de la Côte d’Ivoire en matière de la liberté économique est « globalement moyen ». Il a ensuite relevé que les meilleurs scores réalisés par la Côte d’Ivoire, concernent les indicateurs : « monnaie saine » et « réglementation du marché du crédit ».
Par contre, les mauvais résultats de la Côte d’Ivoire se situent au niveau des indicateurs, tels que « le système juridique et droits de propriété », la « liberté du commerce international », la « taille de l’Etat », et la « réglementation du marché du travail », a-t-il précisé.
Ainsi, Dr Kramo Germain a recommandé que la Côte d’Ivoire doit travailler, entre autres, « à améliorer l’intégrité de son système judicaire, à mettre fin à l’ingérence de l’armée dans sphère politique, à réduire l’impôt, puis, à flexibiliser le marché du travail pour créer des opportunités d’embauche ».
Selon le directeur Afrique de l’ouest de la Fondation Friedrich Naumann pour la liberté, Dr Joachim Holden, la liberté économique renvoi à « l’ouverture des marchés, la liberté de produire, de commercer, de consommer sans entraves, etc. ».
Pour sa part, la directrice d’Audace Institut Afrique, Gisèle Dutheuil, a souligné que l’objectif à travers ce forum de la liberté économique « n’est pas de distribuer des notes, ni encore donner de leçons ».
« C’est pour partager des idées avec le plus grand nombre de spécialistes, avec la plus grande modestie, porter des recommandations auprès des décideurs pour qu’ils s’en inspirent ou pas. Voir ou on en est, s’avoir les points très précis qui pourraient aider la Côte d’Ivoire à améliorer ses performances, en terme de liberté économique. Laquelle est productrice de bonheur, de développement partagé, inclusif,… », a-t-elle déclaré.
En outre, lors du panel, Me Bintou Ohin, conseil juridique agréé et Nanan N’dori, chef traditionnel, ont respectivement montré que la médiation moderne peut améliorer l’environnement des affaires et la médiation traditionnelle aide à la résolution de conflits fonciers.
Au regard de ce rang, l’économiste-chercheur, Dr Kramo Germain a indiqué que le score de la Côte d’Ivoire en matière de la liberté économique est « globalement moyen ». Il a ensuite relevé que les meilleurs scores réalisés par la Côte d’Ivoire, concernent les indicateurs : « monnaie saine » et « réglementation du marché du crédit ».
Par contre, les mauvais résultats de la Côte d’Ivoire se situent au niveau des indicateurs, tels que « le système juridique et droits de propriété », la « liberté du commerce international », la « taille de l’Etat », et la « réglementation du marché du travail », a-t-il précisé.
Ainsi, Dr Kramo Germain a recommandé que la Côte d’Ivoire doit travailler, entre autres, « à améliorer l’intégrité de son système judicaire, à mettre fin à l’ingérence de l’armée dans sphère politique, à réduire l’impôt, puis, à flexibiliser le marché du travail pour créer des opportunités d’embauche ».
Selon le directeur Afrique de l’ouest de la Fondation Friedrich Naumann pour la liberté, Dr Joachim Holden, la liberté économique renvoi à « l’ouverture des marchés, la liberté de produire, de commercer, de consommer sans entraves, etc. ».
Pour sa part, la directrice d’Audace Institut Afrique, Gisèle Dutheuil, a souligné que l’objectif à travers ce forum de la liberté économique « n’est pas de distribuer des notes, ni encore donner de leçons ».
« C’est pour partager des idées avec le plus grand nombre de spécialistes, avec la plus grande modestie, porter des recommandations auprès des décideurs pour qu’ils s’en inspirent ou pas. Voir ou on en est, s’avoir les points très précis qui pourraient aider la Côte d’Ivoire à améliorer ses performances, en terme de liberté économique. Laquelle est productrice de bonheur, de développement partagé, inclusif,… », a-t-elle déclaré.
En outre, lors du panel, Me Bintou Ohin, conseil juridique agréé et Nanan N’dori, chef traditionnel, ont respectivement montré que la médiation moderne peut améliorer l’environnement des affaires et la médiation traditionnelle aide à la résolution de conflits fonciers.