La mise en valeur du centre international de conférences de Kintélé ne manquera pas contribuer à la diversification de l’économique congolaise. Ces mots de Jean Jacques Bouya, ministre de l’aménagement du territoire et des grands travaux lors de la cérémonie d’inauguration de ce centre international ont sonné comme une alerte.
Intérêt économique révélé
Présenté comme « un complexe intégré » à, l’image de « son voisin de droite, le complexe sportif la concorde de Kintélé », le centre international de conférences de Kintélé n’est pas une infrastructure de trop. D’ailleurs, il ne devait pas en avoir une de trop dans un pays qui jette au fil des années les pas rassurants vers son développement.
Situé, comme le complexe sportif de Kintélé sur « une chaîne collinaire à vue panoramique » sur le majestueux fleuve Congo, ce centre « pourrait capter les flux des plus grands événements au niveau national, régional, continental et même international et, faire de Kintélé, une nouvelle destination », comme l’a signifié le ministre Jean-Jacques Bouya qui martelait ainsi sur l’intérêt de ce Centre qui, pour lui, « ne manquera pas de « participer à la diversification de l’économie souhaitée», eu égard aux atouts inestimables en termes d’attrait des touristes.
Le ministre de l’aménagement du territoire et des grands travaux évoquait ainsi la consommation des services qui seront développés dans et autour de ce complexe ; lequel est aussi « source de devises » et de création d’emplois. Tout ceci devrait « contribuer à l’amélioration des agrégats macro-économiques du pays », a-t-il souligné.
Appels à la prise de conscience
Le ministre de l’aménagement du territoire et des grands travaux a non seulement révélé l’intérêt économique du centre ainsi inauguré, il a également rappelé à chaque congolais, la nécessité de préserver les acquis du développement.
En effet, les autorités congolaises ont lancé depuis les années 2000 un programme de développement qui a manifestement transformé le pays. La construction des infrastructures de base (routes, aéroports, hôpitaux, barrages hydroélectriques, stades et autres bâtiments administratifs) constituent indubitablement, les fondements du développement d’un pays comme le Congo. Ceci est d’autant plus valable que le Congo – ce n’est pas superflu de le rappeler – a reculé sur tous les plans, à cause d’une vague de destructions enclenchée en 1997, par des Congolais qui espéraient régler ainsi les contradictions politiques. Les édifices publics, des voies de communication, des infrastructures scolaires et hospitalières, rien n’a été épargné par cette folie destructrice dénommée « bêtise humaine ».
La reconstruction entamée dès la fin de cette folie fratricide a donné au pays un nouveau visage et la construction qui s’en est suivie réellement amorcé sa modernité.
Seulement voilà, il y a des fils du Congo qui continuent de penser et d’agir comme si ce pays n’appartenait qu’à eux et non aux autres. C’est le cas des Ninjas de Bitsamou Frédéric qui, sans justification évidente ont repris à casser, à brûler, donc à détruire ce qui a été construit au profit de la communauté nationale, grâce à l’effort collectif. Ils saccagent tout dans certains districts du département du Pool : ils ont déjà dynamité des ponts sur le chemin de fer Congo-Océan et nourrissent le désir scinque de faire autant sur les routes nationales n° 1 et n° 2.
Cette animosité n’a rien de commun d’avec « les valeurs fondatrices de la République », comme l’a dit Jean Jacques Bouya qui a lancé un appel à la prise de conscience collective, que tous les Congolais disent « Non » à la violence. « Dans une République qui se veut fraternelle, c’est l’harmonie des valeurs qui est l’abscisse, alors que l’ensemble des différences en constitue l’ordonnée », a-t-il renchéri.
Le même appel à la raison a été aussi lancé par un chef traditionnel du village Kintélé, pour qui ce bijou doit être bien entretenu. « Le président de la République a fait, c’est à nous, populations de prendre le relais », pour la sauvegarde et la protection, a-t-il déclaré. Il convient de signaler que le Complexe sportif ‘’la Concorde de Kintélé’’ a, lui aussi, déjà subi les actes dus à incivisme de certains Congolais qui ont emporté sa sonorisation.
Il va de soi que si les Congolais ne cultivent la conservation des acquis du développement dans leur conscience, le développement du pays ne saura que reculer. Et, cela est préjudiciable pour tous les Congolais, sans distinction de zone géographiques, de tribu ou d’appartenance politique. Or, personne ne peut aimer sa patrie et s’activer à le détruire comme le font les Ninjas de Ntoumi et d’autres inconscients qui leur ressemblent.
Intérêt économique révélé
Présenté comme « un complexe intégré » à, l’image de « son voisin de droite, le complexe sportif la concorde de Kintélé », le centre international de conférences de Kintélé n’est pas une infrastructure de trop. D’ailleurs, il ne devait pas en avoir une de trop dans un pays qui jette au fil des années les pas rassurants vers son développement.
Situé, comme le complexe sportif de Kintélé sur « une chaîne collinaire à vue panoramique » sur le majestueux fleuve Congo, ce centre « pourrait capter les flux des plus grands événements au niveau national, régional, continental et même international et, faire de Kintélé, une nouvelle destination », comme l’a signifié le ministre Jean-Jacques Bouya qui martelait ainsi sur l’intérêt de ce Centre qui, pour lui, « ne manquera pas de « participer à la diversification de l’économie souhaitée», eu égard aux atouts inestimables en termes d’attrait des touristes.
Le ministre de l’aménagement du territoire et des grands travaux évoquait ainsi la consommation des services qui seront développés dans et autour de ce complexe ; lequel est aussi « source de devises » et de création d’emplois. Tout ceci devrait « contribuer à l’amélioration des agrégats macro-économiques du pays », a-t-il souligné.
Appels à la prise de conscience
Le ministre de l’aménagement du territoire et des grands travaux a non seulement révélé l’intérêt économique du centre ainsi inauguré, il a également rappelé à chaque congolais, la nécessité de préserver les acquis du développement.
En effet, les autorités congolaises ont lancé depuis les années 2000 un programme de développement qui a manifestement transformé le pays. La construction des infrastructures de base (routes, aéroports, hôpitaux, barrages hydroélectriques, stades et autres bâtiments administratifs) constituent indubitablement, les fondements du développement d’un pays comme le Congo. Ceci est d’autant plus valable que le Congo – ce n’est pas superflu de le rappeler – a reculé sur tous les plans, à cause d’une vague de destructions enclenchée en 1997, par des Congolais qui espéraient régler ainsi les contradictions politiques. Les édifices publics, des voies de communication, des infrastructures scolaires et hospitalières, rien n’a été épargné par cette folie destructrice dénommée « bêtise humaine ».
La reconstruction entamée dès la fin de cette folie fratricide a donné au pays un nouveau visage et la construction qui s’en est suivie réellement amorcé sa modernité.
Seulement voilà, il y a des fils du Congo qui continuent de penser et d’agir comme si ce pays n’appartenait qu’à eux et non aux autres. C’est le cas des Ninjas de Bitsamou Frédéric qui, sans justification évidente ont repris à casser, à brûler, donc à détruire ce qui a été construit au profit de la communauté nationale, grâce à l’effort collectif. Ils saccagent tout dans certains districts du département du Pool : ils ont déjà dynamité des ponts sur le chemin de fer Congo-Océan et nourrissent le désir scinque de faire autant sur les routes nationales n° 1 et n° 2.
Cette animosité n’a rien de commun d’avec « les valeurs fondatrices de la République », comme l’a dit Jean Jacques Bouya qui a lancé un appel à la prise de conscience collective, que tous les Congolais disent « Non » à la violence. « Dans une République qui se veut fraternelle, c’est l’harmonie des valeurs qui est l’abscisse, alors que l’ensemble des différences en constitue l’ordonnée », a-t-il renchéri.
Le même appel à la raison a été aussi lancé par un chef traditionnel du village Kintélé, pour qui ce bijou doit être bien entretenu. « Le président de la République a fait, c’est à nous, populations de prendre le relais », pour la sauvegarde et la protection, a-t-il déclaré. Il convient de signaler que le Complexe sportif ‘’la Concorde de Kintélé’’ a, lui aussi, déjà subi les actes dus à incivisme de certains Congolais qui ont emporté sa sonorisation.
Il va de soi que si les Congolais ne cultivent la conservation des acquis du développement dans leur conscience, le développement du pays ne saura que reculer. Et, cela est préjudiciable pour tous les Congolais, sans distinction de zone géographiques, de tribu ou d’appartenance politique. Or, personne ne peut aimer sa patrie et s’activer à le détruire comme le font les Ninjas de Ntoumi et d’autres inconscients qui leur ressemblent.