«Oh ! Il a perdu la bataille et non la guerre !» C’est ce qu’on a entendu des intimes de Jean Marie Michel Mokoko, à l’annonce de la sentence. L’homme politique, tant qu’il n’est pas encore mort, ne peut perdre espoir. Certes, Jean Marie Michel Mokoko et ses avocats ont trois jours pour faire appel et espèrent sur la communauté internationale. Mais, à mon humble avis de Bantou, il ferait mieux d’accepter le verdict. Ainsi, il espére bénéficier de l’indulgence des hautes autorités de la République. Il faut qu’il soit un éhonté pour se pourvoir en cassation car, il n’a pas voulu d’un débat pour se défendre, lors du procès, que ferait-il quand il se pourvoira en cassation ? Le connaissant, par ailleurs, imbu de lui-même, il va croire que c’est une faiblesse que d’espérer la grâce présidentielle.
Ce qui est certain, est que son implication dans la tentative de coup d’Etat est avérée. Et, si la communauté internationale, notamment l’ONU et autres lobbies du mal, ne connaît pas l’homme Mokoko, la France, notre mère patrie, par contre, le connaît assez bien. C’est un égaré qui fait le ridicule, un félon comme le qualifiait en son temps, le président Pascal Lissouba.
Les Congolais ont commencé à connaître l’homme Mokoko, depuis le début de son procès. Ils découvrent à travers des réseaux sociaux des éléments nouveaux qui démontrent que Jean Marie Michel Mokoko était en intelligence avec certains chefs d’Etat africains qui se disputent le leadership avec Denis Sassou N’Guesso. De même qu’il l’était avec certains collaborateurs des hautes autorités françaises, notamment de l’ancien premier Ministre Manuel Valls. Pour communiquer avec ce dernier, Jean Marie Michel Mokoko utilisait les services de son ‘’très cher Bien ami’’, N’jim Ibrahim-Diawadoh, conseiller chargé des affaires réservées et de la Diversité auprès du Premier ministre Manuel Valls.
Dans une de ses réponses portant le sceau de la République française, datant du 27 novembre 2015 à 11 :14 :07 et ayant pour objet : alternance au Congo, Diawadoh écrit : «J’ai sensibilisé mon patron à ce sujet et il est sur la même longueur d’onde que le château : Sassou doit dégager par tous les moyens ».
Ce qui est certain, est que son implication dans la tentative de coup d’Etat est avérée. Et, si la communauté internationale, notamment l’ONU et autres lobbies du mal, ne connaît pas l’homme Mokoko, la France, notre mère patrie, par contre, le connaît assez bien. C’est un égaré qui fait le ridicule, un félon comme le qualifiait en son temps, le président Pascal Lissouba.
Les Congolais ont commencé à connaître l’homme Mokoko, depuis le début de son procès. Ils découvrent à travers des réseaux sociaux des éléments nouveaux qui démontrent que Jean Marie Michel Mokoko était en intelligence avec certains chefs d’Etat africains qui se disputent le leadership avec Denis Sassou N’Guesso. De même qu’il l’était avec certains collaborateurs des hautes autorités françaises, notamment de l’ancien premier Ministre Manuel Valls. Pour communiquer avec ce dernier, Jean Marie Michel Mokoko utilisait les services de son ‘’très cher Bien ami’’, N’jim Ibrahim-Diawadoh, conseiller chargé des affaires réservées et de la Diversité auprès du Premier ministre Manuel Valls.
Dans une de ses réponses portant le sceau de la République française, datant du 27 novembre 2015 à 11 :14 :07 et ayant pour objet : alternance au Congo, Diawadoh écrit : «J’ai sensibilisé mon patron à ce sujet et il est sur la même longueur d’onde que le château : Sassou doit dégager par tous les moyens ».