Neuf mois après l’intervention de l’OTAN, on n’a pas d’autre solution que de lyncher le guide libyen. Devant les difficultés du conseil National de transition qui peinait à anéantir entièrement les forces pro Kadhafi , les colonialistes occidentaux ont engagé une centaine d’avions effectuant des frappes horribles à Syrte. Cette guerre de croisade imposée au peuple libyen par les suppôts de l’enfer est loin de prendre fin. Par sa résistance, le guide a prouvé aux monde qu’il honore son sexe masculin vaut mieux mourir debout que de s’agenouiller devant son semblable et c’est ce que le guide de la révolution libyenne a fait. Certes il y a une date butoir pour chaque être humain de décéder mais dans le cas du leader libyen, il a refusé de céder , acceptant la mort en grand martyr au même titre que Di douche Maraud de l’Algérie , Hidalgo du Meouque ; Patrice L’Lumumba du Congo Kinshasa de Ruben 4m Nyobe du Cameroun ou de son compatriote Oumar Al Moukhtar exécuté le 16 septembre 1931 par les colonialistes Italiens en Libye. Au grand jamais, un Président au monde n’a construit son pays, donné à manger à son peuple et l’a instruit comme Kadhafi – le paradoxe fait légion en Afrique Noire – Tous ses fils desperados ne l’ont pas fait « devenus par l’accident de l’Histoire Président de la République, ils n’ont aucun bien de nationalisme. Pour eux, pillage des ressources nationales, assassinats lâches et ignobles de leurs compatriotes, sont des vertus cardinales.
Al Hadj Garondé Djarma